ANGLETERRE

Oscar Wilde prend très mal son emprisonnement; il a entendu avec accablement la lecture du règlement de la prison et il a protesté avec impétuosité lorsqu’on lui a coupé les cheveux et qu’on l’a obligé à endosser un costume pénitentiaire déjà porté. Comme il paraissait très souffrant le dernier jour du procès, on pensait qu’il serait transféré dans un hôpital ; mais le médecin ayant déclaré qu’il était remis de son indisposition, Wilde a été envoyé au travail de la roue du « moulin de discipline », l’une des corvées les plus pénibles des condamnés au havd labour.

Disons brièvement en quoi consiste cette véritable torture : Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d’une roue de bateau à vapeur, d’une aube. Il y a cette différence entre l’aube et le tread mill, que l'aube agit sur leau en vertu d’une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés du hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d’un escalier.

Imaginez, dit le Temps, à qui nous empruntons ces renseignements, une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d'une roue de bateau à vapeur, d'une aube. Il y a cette différence entre l'aube et le tread mill, que l'aube agit sur l'eau en vertu d'une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marcher fuyantes d'un escalier.

Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d’une roue de bateau a vapeur, d'une aube. Il y a cette différence entre l’aube et le tread mill, que l’aube agit sur l’eau en vertu d’une propulsion intérieure tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés du hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d’un escalier.

Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d’une roue de bateau a vapeur, d’une aube. Il y a cette différence entre l’aube et le tread mill, que l’aube agit sur l’eau en vertu d’une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés du hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d’un escalier.

Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d’une roue de bateau à vapeur, d'une aube, il y a cette différence entre l’aube et le tread mill, que l’aube agit sur l’eau en vertu d’une propulsion intêrieure. tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de « hard labour ». Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d’un escalier.

Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d'une roue de bateau à vapeur, d'une aube, il y a cette différence entre l'aube et le tread mill, que l'aube agit sur l'eau en vertu d'une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d'un escalier.

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Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d’une roue de bateau à vapeur, d’une aube. Il y a cette différence entre l’aube et le tread mill, que l’aube agit sur l’eau en vertu d’une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d’un escalier.

Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la ciconférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d'une roue de bateau à vapeur, d'une aube. Il y a cette différence entre l'aube et le tread mill, que l'aube agit sur l'eau en uertu d'une propulsion intérieure tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés du hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d'un escalier.

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Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d'une roue de bateau à vapeur, d'une aube. Il y a cette différence entre l'aube et le tread mill, que l'aube agit sur l'eau en vertu d'une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa repulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d'un escalier.

Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre metres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d'une roue de bateau à vapeur, d'une aube. Il y a cette différence entre l'aube et le tread mill, que l'aube agit sur l'eau en vertu d'une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules droites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d'un escalier.

Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d'une roue de bateau à vapeur, d'une aube. Il y a cette différence entre l'aube et le tread mill, que l'aube agit sur l'eau en vertu d'une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa repulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d'un escalier.

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Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètre et dont la ciconférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d'une roue de bateau à vapeur, d'une aube. Il y a cette différence entre l'aube et le tread mill, que l'aube agit sur l'eau en vertu d'une propulsion intérieure tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés du hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elle figurent, en passant, les marches fuyantes d'un escalier.

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Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre moins et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d’une roue de bateau a vapeur, d’une aube. Il y a cette différence entre l’aube et le trend mill, que l’aube agit sur l’eau en vertu d’une propulsion intérieure tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la […] unique ment aux hommes frappés du hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d’un escalier.

Imaginez une revue gigantesque dont les rayons atteignent quinze pieds et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d’une roue de bateau à vapeur, d’une aube. Il y a cette différence entre l’aube et le « tread mill » que l’aube agit sur l’eau en vertu d’une propulsion intérieure, tandis que le « tread mill » reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de « hard labor. » Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d’un escalier.

Hier, à cinq heures du matin, les condamnés ont été pesés nus. Il faut qu’ils maigrissent pendant la durée de leur peine. Quand ensuite ils ont à nouveau endossé la livrée d’infamie, on les a dirigés vers le tread mill, le moulin de discipline, c’est-à-dire une roue gigantesque, dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d’une roue de bateau à vapeur, d’une aube. Il y a cette différence entre l’aube et le tread mill, que l’aube agit sur l’eau en vertu d’une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d’un escalier.

Hier, à cinq heures du matin, les condamnés ont été pesés nus. Il faut qu’ils maigrissent pendant la durée de leur peine. Quand ensuite ils ont à nouveau endossé la livrée d’infamie, on les a dirigés vers le tread mill, le moulin de discipline, c’est-à-dire une roue gigantesque, dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d’une roue de bateau à vapeur, d’une aube. Il y a cette différence entre l’aube et le tread mill, que l’aube agit sur l’eau en vertu d’une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d’un escalier.

Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d'une roue de bateau à vapeur, d'une aube. Il y a cette différence entre l'aube et le tread mill (moulin de discipline), que l'aube agit sur l'eau en vertu d'une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de hard labour.

Amené dans une de ces cellules, le condamné est tenu de se suspendre de ses deux mains à deux anneaux ballottant au-dessus de sa tête, et de peser de tout son poids avec ces pieds sur les palettes qui défilent, afin d'actionner le mouvement de cette grande roue qu’il n’aperçoit même pas. S’il hésite, un gardien placé derrière lui peut lui appliquer un coup de fouet ; s’il s’arrête, la roue, dans sou mouvement continu, l’atteint rudement au pied; s'il trébuche, il s’expose à payer se défaillance d’une jambe cassée. S’il refuse, c’est la peine disciplinaire du fouet, du «chat à neuf queues». Cette arme de mince cuir tressé emporte la peau au premier coup et fouille la plaie vive au deuxième.

Amené dans une de ces cellules, le condamné est tenu de se suspendre de ses deux mains à deux anneaux ballottant au-dessus de sa tête, et de peser de tout son poids avec ses pieds sur les palettes qui défilent, afin d’actionner le mouvement de cette grande roue qu'il n’aperçoit même pas. S’il hésite, un gardien placé derrière lui peut lui appliquer un coup de fouet; s’il s’arrête, la roue, dans son mouvement continu, l’atteint rudement au pied; s’il trébuche, il s'expose à payer sa défaillance d’une jambe cassée. S’il refuse, c’est la peine disciplinaire du fouet, du « chat à neuf queues ». Cette arme de mince cuir tressé emporte la peau au premier coup et fouille la plaie vive au deuxième.

Amené dans une de ces cellules, le condamné est tenu de se suspendre de ses deux mains à deux anneaux ballottant au-dessus de sa tête, et de peser de tout son poids avec ses pieds sur les palettes qui défilent, afin d’actionner le mouvement de cette grande roue qu’il n’aperçoit même pas. S’il hésite, un gardien placé derrière lui peut lui appliquer un coup de fouet ; s’il s’arrête, la roue, dans son mouvement continu, l’atteint rudement aux pieds ; s’il trébuche, il s’expose à payer sa défaillance d’une jambe cassée. S’il refuse, c’est la peine disciplinaire du fouet, du « chat à neuf queues ». Cette arme de mince cuir tressé emporte la peau au premier coup et fouille la plaie vive au deuxième.

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La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n’y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie après dîner. Encore le travail est il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine suivantes minutes et se repose une demi-heure. En dehors du tread mill, il est soumis aux occupations les plus pénibles.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n’y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie après dîner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure. En dehors du tread mill il est soumis aux occupations les plus pénibles.

La mise en action du « tread mill » comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n’y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie après dîner. Encore le travail est-il divisé pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure. En dehors du « tread mill » il est soumis aux occupations les plus pénibles.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n’y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie après diner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure. En dehors du tread mill, il est soumis aux occupations les plus pénibles.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n’y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie après dîner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure. En dehors du tread mill, il est soumis aux occupations les plus pénibles.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n'y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie après dîner. Encore le travail est-il divisé pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure. En dehors du tread mill il est soumis aux occupations les plus pénibles.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n'y sont assujettis que pendant trois heures par jour, une heure et demie le matin, une heure et demie après dîner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi heure. En dehors du tread mill il est soumis aux occupations les plus pénibles.

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La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n'y sont assujettis que pendant trois heures par jour une heures et demie le matin, une heure et demie après dîner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure. En dehors du tread mill il est soumis aux occupations les plus pénibles.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n'y sont assujettis que pendant trois heures par jour: une heure et demie le matin, une heure et demie après dîner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi heure. En dehors du tread mill, il est soumis aux occupations les plus pénibles.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n’y sont assujettis que pendant trois heures par jour, une heure et demie le matin, une heure et demie après dîner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi heure. En dehors du tread mill il est soumis aux occupations les plus pénibles.

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La mise en action du trend mil comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n’y sont assujettis que pendant trois heures par jour, une heure et demie le matin, une heure et demie après dîner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi heure. En dehors du tread mill il est soumis aux occupations les plus pénibles.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n’y sont assujettis que pendant trois heures par jour, une heure et demie le matin, une Le^re et demie après dîner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi heure. En dehors du tread mill il est soumis aux occupations les plus pénibles.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n y son assujettis que pendant trois heures par jour: une heure et demie le matin, une heure et demie après diner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure. En dehors du tread mill il est soumis aux occupations les plus péniches.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n'y sont assujettis que pendant trois heures par jour: une heure et demie le matin, une heure et demie l'après-midi. Encore le travail est-il divisé pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure. En dehors du tread mill il est soumis aux occupations les plus pénibles.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n'y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie l'après-midi. Encore le travail est-il divisé pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure. En dehors du tread mill il est soumis aux occupations les plus pénibles.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n'y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie l'après-midi. Encore le travail est-il divisé pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure. En dehors du tread mill il est soumis aux occupations les plus pénibles.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante, que les condamnés n’y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie l'après-midi. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement rt cinq minutes de repos. Le condamné peine une heure et se repose une demi-heure. En dehors du tread mill il est soumis aux occupations les plus pénibles.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n'y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie après dîner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure ; mais si l’on trouve qu’il ne maigrit pas suffisamment, on prolonge son supplice.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n’y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie après dîner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure ; mais si l’on trouve qu'il ne maigrit pas suffisamment, on prolonge son supplice.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n’y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie après dîner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnes n'y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie après-dîner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos.

ENGLAND

Oscar Wilde takes his imprisonment very badly; he heard with dejection the reading of the prison regulations and he protested impetuously when his hair was cut and he was forced to put on a prison costume that had already been worn. As he appeared very unwell on the last day of the trial, it was thought that he would be transferred to a hospital; but the doctor having declared that he had recovered from his indisposition, Wilde was sent to work on the wheel of the 'mill of discipline', one of the most arduous drudgeries of those condemned to havd ploughing.

Let's briefly say what this real torture consists of: Imagine a gigantic wheel, the spokes of which reach four meters, and the circumference of which is divided into paddles, approximately like the circumference of a steamer's wheel, of a paddle. There is this difference between the dawn and the tread mill, that the dawn acts on the water by virtue of an interior propulsion, while the tread mill receives its propulsion from without and owes it solely to men struck down by hard ploughing. In the upper part of the circumference, the pallets lead to narrow cells where they represent, in passing, the receding steps of a staircase.

Brought into one of these cells, the condemned man is required to suspend himself with his two hands from two rings swinging above his head, and to press with all his weight with his feet on the moving pallets, in order to activate the movement of this big wheel that he doesn't even notice. If he hesitates, a guardian placed behind him can give him a whiplash; if he stops, the wheel, in its continuous movement, strikes him roughly in the foot; if he stumbles, he exposes himself to paying for the failure of a broken leg. If he refuses, it is the disciplinary penalty of the whip, of the “nine-tailed cat”. This weapon of thin braided leather takes away the skin on the first blow and digs into the open wound on the second.

The working of the treadmill involves such overwhelming fatigue that the condemned are subjected to it only for three hours a day: one hour and a half in the morning, one hour and a half after dinner. Again the work is divided, for each period, into ten minutes of trampling and five minutes of rest. The condemned sentence following minutes and rests half an hour. Apart from the tread mill, it is subjected to the most painful occupations.

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