Oscar Wilde et le "Hard Labour"

Au greffe de Pantonville on rapporte que Wilde a assisté dimanche aux offices et qu'il a travaillé lundi selon les rigoureuses conditions légales. Mardi matin seulement, it a déclaré n'avoir plus dormi depuis trois jours et trois nuits et ne pouvoir se lever.

Il a cependant travaillé jusqu'à onze heures du matin ; à ce moment it a été pris d'un étourdissement, et reconduit aussitôt dans sa cellule et dispené de travail jusqu'au lendemain.

Mercredi il n'a pu supporter le « hard la-bour » que pendant quelques heures. Il est probable qu'il sera transféré à l'infirmerie de la prison pour y recevoir los soins qu'exige son état.

Taylor est également malade, mais n'a pas encore cessé son travail.

» Taylor est également malade, mais n’a pas encore cessé son travail. »

Taylor est également malade, mais n'a pas encore cessé son travail.

Voici, brievement exposé, en quoi consiste la peine du Hard Labour.

Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d'une roue de bateau à vapeur, d'une aube. Il y a cette différence entre l'aube et le tread mill (moulin de discipline), que l'aube agit sur l'eau en vertu d'une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de hard labour.

Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre metres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d'une roue de bateau à vapeur, d'une aube. Il y a cette différence entre l'aube et le tread mill, que l'aube agit sur l'eau en vertu d'une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules droites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d'un escalier.

Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres, et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d’une roue de bateau à vapeur d’une aube. Il y a cette différence entre l’aube et le tread mill que l’aube agit sur l’eau en vertu d’une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de hard-labour. Dans la partie supérieure de la circonférence les palettes aboutissent à des cellules étroites, où elles figurent, eu passant, les marches fuyantes d’un escalier.

Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d’une roue de bateau à vapeur, d'une aube, il y a cette différence entre l’aube et le tread mill, que l’aube agit sur l’eau en vertu d’une propulsion intêrieure. tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de « hard labour ». Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d’un escalier.

Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d'une roue de bateau à vapeur, d'une aube, il y a cette différence entre l'aube et le tread mill, que l'aube agit sur l'eau en vertu d'une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d'un escalier.

Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d'une roue de bateau à vapeur, d'une aube. Il y a cette différence entre l'aube et le tread mill, que l'aube agit sur l'eau en vertu d'une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d'un escalier.

Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d'une roue de bateau à vapeur, d'une aube. Il y a cette différence entre l'aube et le tread mill, que l'aube agit sur l'eau en vertu d'une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d'un escalier.

Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d’une roue de bateau à vapeur, d’une aube. Il y a cette différence entre l’aube et le tread mill, que l’aube agit sur l’eau en vertu d’une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d’un escalier.

Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d’une roue de bateau a vapeur, d'une aube. Il y a cette différence entre l’aube et le tread mill, que l’aube agit sur l’eau en vertu d’une propulsion intérieure tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés du hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d’un escalier.

Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d’une roue de bateau a vapeur, d’une aube. Il y a cette différence entre l’aube et le tread mill, que l’aube agit sur l’eau en vertu d’une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés du hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d’un escalier.

Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre métrés et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d’une roue de bateau à vapeur, d’une aube. Il y a cette différence entre l'aube et le tread mill, que l’aube agit sur l'eau en vertu d’une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux nommes frappés de hard labour. Dans la partie supérieure ae la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d’un escalier.

maginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d'une roue de bateau à vapeur, d'une aube. Il y a cette différence entre l'aube et le tread mill, que l'aube agit sur l'eau en vertu d'une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d'un escalier.

Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d'une roue de bateau à vapeur, d'une aube. Il y a cette différence entre l'aube et le tread mill, que l'aube agit sur l'eau en vertu d'une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa repulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d'un escalier.

Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d'une roue de bateau à vapeur, d'une aube. Il y a cette différence entre l'aube et le tread mill, que l'aube agit sur l'eau en vertu d'une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa repulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d'un escalier.

Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d'une roue de bateau à vapeur, d'une aube. Il y a cette différence entre l'aube et le tread mill, que l'aube agit sur l'eau en vertu d'une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa repulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d'un escalier.

Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètre et dont la ciconférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d'une roue de bateau à vapeur, d'une aube. Il y a cette différence entre l'aube et le tread mill, que l'aube agit sur l'eau en vertu d'une propulsion intérieure tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés du hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elle figurent, en passant, les marches fuyantes d'un escalier.

Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la ciconférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d'une roue de bateau à vapeur, d'une aube. Il y a cette différence entre l'aube et le tread mill, que l'aube agit sur l'eau en uertu d'une propulsion intérieure tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés du hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d'un escalier.

Imaginez une revue gigantesque dont les rayons atteignent quinze pieds et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d’une roue de bateau à vapeur, d’une aube. Il y a cette différence entre l’aube et le « tread mill » que l’aube agit sur l’eau en vertu d’une propulsion intérieure, tandis que le « tread mill » reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de « hard labor. » Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d’un escalier.

Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre moins et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d’une roue de bateau a vapeur, d’une aube. Il y a cette différence entre l’aube et le trend mill, que l’aube agit sur l’eau en vertu d’une propulsion intérieure tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la […] unique ment aux hommes frappés du hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d’un escalier.

Imaginez, dit le Temps, à qui nous empruntons ces renseignements, une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d'une roue de bateau à vapeur, d'une aube. Il y a cette différence entre l'aube et le tread mill, que l'aube agit sur l'eau en vertu d'une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés de hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marcher fuyantes d'un escalier.

Disons brièvement en quoi consiste cette véritable torture : Imaginez une roue gigantesque dont les rayons atteignent quatre mètres et dont la circonférence est divisée en palettes, à peu près comme la circonférence d’une roue de bateau à vapeur, d’une aube. Il y a cette différence entre l’aube et le tread mill, que l'aube agit sur leau en vertu d’une propulsion intérieure, tandis que le tread mill reçoit sa propulsion du dehors et la doit uniquement aux hommes frappés du hard labour. Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d’un escalier.

Dans la partie supérieure de la circonférence, les palettes aboutissent à des cellules étroites où elles figurent, en passant, les marches fuyantes d'un escalier.

Amené dans une des cellules, le condamné est tenu de se suspendre de ses deux mains à deux anneaux ballottant au-dessus de sa tête, et de peser de tout son poids avec ses pieds sur les palettes qui défilent, afin d'actionner le mouvement de cette grande roue qu'il n'aperçoit même pas.

S'il hésite, un gardien placé derrière lui peut lui appliquer un coup de fouet ; s'il s'arrête, la roue dans son mouvement continu, l'atteint rudement aux pieds ; s'il trébuche, il s'expose à payer sa défaillance d'une jambe cassée. S'il refuse, c'est la peine disciplinaire du fouet, du « chat à neuf queues ». Cette arme de mince cuir tressé emporte la peau au premier coup et fouille la plaie vive au deuxième.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnes n'y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie après-dîner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n’y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie après dîner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n’y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie après dîner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure. En dehors du tread mill il est soumis aux occupations les plus pénibles.

La mise en action du « tread mill » comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n’y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie après dîner. Encore le travail est-il divisé pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure. En dehors du « tread mill » il est soumis aux occupations les plus pénibles.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n'y sont assujettis que pendant trois heures par jour, une heure et demie le matin, une heure et demie après dîner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minute et se repose une demi heure. En dehors du tread mill il est soumis aux occupations les plus pénibles.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n’y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie après diner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure. En dehors du tread mill, il est soumis aux occupations les plus pénibles.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n’y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie après dîner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure. En dehors du tread mill, il est soumis aux occupations les plus pénibles.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n'y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie après dîner. Encore le travail est-il divisé pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure. En dehors du tread mill il est soumis aux occupations les plus pénibles.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante, que les condamnés n’y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie l'après-midi. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement rt cinq minutes de repos. Le condamné peine une heure et se repose une demi-heure. En dehors du tread mill il est soumis aux occupations les plus pénibles.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n'y sont assujettis que pendant trois heures par jour, une heure et demie le matin, une heure et demie après dîner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi heure. En dehors du tread mill il est soumis aux occupations les plus pénibles.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n'y sont assujettis que pendant trois heures par jour une heures et demie le matin, une heure et demie après dîner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure. En dehors du tread mill il est soumis aux occupations les plus pénibles.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n'y sont assujettis que pendant trois heures par jour: une heure et demie le matin, une heure et demie après dîner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi heure. En dehors du tread mill, il est soumis aux occupations les plus pénibles.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n’y sont assujettis que pendant trois heures par jour, une heure et demie le matin, une heure et demie après dîner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi heure. En dehors du tread mill il est soumis aux occupations les plus pénibles.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n'y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heures et demie le matin, une heure et demie après dîner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure. En dehors du tread mill il est soumis aux occupations les plus pénibles.

La mise on action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n'y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie après dîner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure. En dehors du tread mill, il est soumis aux occupations les plus pénibles.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n’y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie après dîner. Encore le travail est il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine suivantes minutes et se repose une demi-heure. En dehors du tread mill, il est soumis aux occupations les plus pénibles.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n y son assujettis que pendant trois heures par jour: une heure et demie le matin, une heure et demie après diner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure. En dehors du tread mill il est soumis aux occupations les plus péniches.

La mise en action du trend mil comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n’y sont assujettis que pendant trois heures par jour, une heure et demie le matin, une heure et demie après dîner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi heure. En dehors du tread mill il est soumis aux occupations les plus pénibles.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n’y sont assujettis que pendant trois heures par jour, une heure et demie le matin, une Le^re et demie après dîner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi heure. En dehors du tread mill il est soumis aux occupations les plus pénibles.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n'y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie après dîner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure ; mais si l’on trouve qu’il ne maigrit pas suffisamment, on prolonge son supplice.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n’y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie après dîner. Encore le travail est-il divisé, pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure ; mais si l’on trouve qu'il ne maigrit pas suffisamment, on prolonge son supplice.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n'y sont assujettis que pendant trois heures par jour: une heure et demie le matin, une heure et demie l'après-midi. Encore le travail est-il divisé pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure. En dehors du tread mill il est soumis aux occupations les plus pénibles.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n'y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie l'après-midi. Encore le travail est-il divisé pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure. En dehors du tread mill il est soumis aux occupations les plus pénibles.

La mise en action du tread mill comporte une fatigue tellement accablante que les condamnés n'y sont assujettis que pendant trois heures par jour : une heure et demie le matin, une heure et demie l'après-midi. Encore le travail est-il divisé pour chaque période, en dix minutes de piétinement et cinq minutes de repos. Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure. En dehors du tread mill il est soumis aux occupations les plus pénibles.

Le condamné peine soixante minutes et se repose une demi-heure. En dehors du tread mill, il est soumis aux occupations les plus penibles.

Telle est cette peine du hard labour — l'effroi, la terreur de tous les malfaiteurs anglais.

Telle est cette peine du hard labour, — l'effroi, la terreur de tous les malfaiteurs anglais.

Oscar Wilde and "Hard Labour"

At the Pantonville registry, it is reported that Wilde attended services on Sunday and that he worked on Monday according to the rigorous legal conditions. Tuesday morning only, he said he had not slept for three days and three nights and could not get up.

However, he worked until eleven o'clock in the morning; at this moment he was seized with dizziness, and immediately taken back to his cell and exempted from work until the next day.

On Wednesday he was only able to endure the “hard labour” for a few hours. It is likely that he will be transferred to the prison infirmary to receive the care required by his condition.

Taylor is also ill, but has not yet stopped working.

Here, briefly stated, is the punishment of Hard Labour.

Imagine a gigantic wheel, the spokes of which reach four meters, and the circumference of which is divided into paddles, approximately like the circumference of a steamer's wheel, of a paddle. There is this difference between the dawn and the tread mill (mill of discipline), that the dawn acts on the water by virtue of an interior propulsion, while the tread mill receives its propulsion from without and must to men stricken with hard ploughing.

In the upper part of the circumference, the pallets lead to narrow cells where they represent, in passing, the receding steps of a staircase.

Brought into one of the cells, the condemned person is required to hang with both hands from two rings swinging above his head, and to press with all his weight with his feet on the scrolling pallets, in order to activate the movement. of this big wheel that he doesn't even see.

If he hesitates, a guardian placed behind him can give him a whiplash; if he stops, the wheel in its continuous movement, hits him roughly at the feet; if he stumbles, he runs the risk of paying for his failure with a broken leg. If he refuses, it is the disciplinary penalty of the whip, of the “nine-tailed cat”. This weapon of thin braided leather takes away the skin on the first blow and digs into the open wound on the second.

The working of the treadmill involves such overwhelming fatigue that the condemned are subjected to it only for three hours a day: an hour and a half in the morning, an hour and a half after dinner. Again the work is divided, for each period, into ten minutes of trampling and five minutes of rest.

The condemned man spends sixty minutes and rests for half an hour. Apart from the tread mill, it is subjected to the most arduous occupations.

Such is the pain of hard labor — the dread, the terror of all English malefactors.

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