Express - Wednesday, November 27, 1895
This report was originally published in French. Machine translations may be available in other languages.
FRANCE
On sait, ou on ne sait pas, qu’un certtain nombre d’écrivains français — à la remorque d’un Américain — ont eu l'idée — assez singulière — d’adresser aux autorités anglaises une pétition en faveur de l’esthète Oscar Wilde, condamné à deux ans de hard labour pour des actes qu’il n’est pas besoin de rappeler. Mais il ne parait pas que le projet rencontre beaucoup d’adhésions : Sardou, notamment, a refusé net sa signature, et Alphonse Daudet a fait giimace.
On sait, ou on ne sait pas, qu’un certain nombre d’écrivains français — à la remorque d’un Américain — ont eu l’idée — assez singulière — d’adresser aux autorités anglaises une pétition en faveur de l’esthète Oscar Wilde, condamné à deux ans de hard labour pour des actes qu'il n’est pas besoin de rappeler. Mais il ne paraît pas que le projet rencontre beaucoup d’adhésions : Sardou, notamment, a refusé net sa signature, et Alphonse Daudet a fait la grimace.
FRANCE
We know, or we don't know, that a certain number of French writers - in tow of an American - had the idea - rather singular - of addressing to the English authorities a petition in favor of the aesthete Oscar Wilde, sentenced to two years of hard labor for acts that need not be recalled. But it does not seem that the project meets with a lot of support: Sardou, in particular, flatly refused his signature, and Alphonse Daudet made a face.