2e ÉDITION
UN ÉPISODE DE L’AFFAIRE WILDE

Hier, mercredi, ont commencé les débats de l’affaire Wilde, devant la Cour d’assises de Londres. On sait de quels faits il s’agit, et nul incident n’a signalé cette première audience.

Il n’en a pas été de même de l’audience du tribunal de police de Marlborough-street qui a fort égayé la matinée.

Le marquis de Queensberry et son fils aîné comparaissaient tous deux comme coupables d’avoir causé du désordre sur la voie publique.

Le fils portait sur la figure les preuves de la vigueur du père, lequel déclare n’a voir frappé que pour se défendre.

Quant au fils, il avait attaqué parce que son père reprochait à lui-même, à son frère, à sa femme une conduite des plus critiquables.

Le marquis les poursuivait de lettres non seulement violentes, mais indécentes. Le père nie que ses lettres fussent indécentes. Mais Oscar Wilde demeurait chez son fils !

Le juge a laissé de côté la question des responsabilités : il a simplement condamné le père et le fils à verser une caution de 12,500 francs chacun, pour six mois "afin qu’ils se tiennent tranquilles."

Le juge n'a pas voulu considérer la question de savoir qui a commencé la querelle et il a condamné le père et le fils à fournir la caution de 12,500 francs chacun pour six mois, afin qu'ils se tiennent tranquilles.

Le juge n'a pas voulu considérer la question de savoir qui a commencé la querelle et il a condamné le père et le fils à fournir caution de 12,500 francs chacun pour six mois, afin qu'ils se tiennent tranquilles.

Le juge n’a pas voulu considérer la question de savoir qui a commencé la querelle, et il a condamné le père et le fils à fournir caution de 12,500 francs chacun pour six mois, afin qu'ils se tiennent tranquilles.

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Le juge n'a pas voulu considérer la question de savoir qui a commencé la querelle et il a condamné le père et le fils à fournir caution de 12,000 francs chacun pour six mois, afin qu'ils se tiennent tranquilles.

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Le jury n’a pas considéré la question de savoir qui a commencé la querelle et il a condamné le père et le fils à fournir une caution de 12,500 francs chacun pour six mois, afin qu’ils se tiennent tranquilles à l’avenir.

Le juge n'a pas voulu considérer la question de savoir qui a commencé la querelle, et il a condamné, le père et le filop il fournir caution de 12,500 francs chacun pour six-mois, afin qu'ils se tiennent tranquilles.

Le juge n'a pas voulu considérer la question de savoir qui a commencé la querelle et il a condamné le père et le fils à fournir caution de 12,500 fr. chacun pour six mois, afin qu'ils se tiennent tranquilles.

Le jury n'a pas considéré la question de savoir qui avait commencé la querelle et a condamné le père et le fils à fournir une caution de 12,500 fr. chacun pour six mois afin qu'ils se tiennent tranquilles à l'avenir.

Le jury n’a pas considéré la question de savoir qui avait commencé la querelle et il a condamné le père et le fils à fournir une caution de 12,500 fr. chacun pour six mois afin qu’ils se tiennent tranquilles à l’avenir.

Le jury n’a pas considéré la question de savoir qui avait commencé la querelle et il a condamné le père et le fils à fournir une caution de 12.000 fr. chacun pour six mois afin qu’ils se tiennent tranquilles à l’avenir.

Le jury n’a pas considéré la question de savoir qui avait commencé la querelle et il a condamné le père et le fils à fournir une caution de 12.000 fr. chacun pour six mois afin qu’ils se tiennent tranquilles à l’avenir.

2nd EDITION
AN EPISODE OF THE WILDE AFFAIR

Yesterday, Wednesday, began the proceedings of the Wilde case, before the London Assize Court. We know what the facts are, and no incident has signaled this first hearing.

It was not the same with the hearing of the Marlborough-street police court which very brightened up the morning.

Both the Marquess of Queensberry and his eldest son were charged with causing disorder on the public highway.

The son bore on his face the proofs of the vigor of the father, who declares that he only struck to defend himself.

As for the son, he had attacked because his father reproached himself, his brother, his wife for conduct that was most questionable.

The marquis pursued them with not only violent but indecent letters. The father denies that his letters were indecent. But Oscar Wilde was staying with his son!

The judge left aside the question of responsibilities: he simply condemned the father and the son to pay bail of 12,500 francs each, for six months "so that they keep quiet."

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