Dépêches de l'Etranger
OSCAR WILDE EN PRISON

Londres, 6 juin.

En raison de l'état mental où l'ont réduit ses dix premiers jours de captivité, Oscar Wilde, condamné à deux ans de hard labour, a été transféré dans une cellule capitonnée par les autorités de la prison de Pentonville: il a donné, à plusieurs reprises, et notamment en voyant le barbier de la prison qui venait lui raser la tête, des marques d'aliénation frénétique.

A raison de l'état mental où l’auraient réduit ses dix premiers jours de captivité, Oscar Wilde, condamné à deux ans de hard labour, aurait été transféré dans une cellule capitonnée par les autorités de la prison de Pentonville : il aurait donné à plusieurs reprises et notamment en voyant le barbier de la prison qui venait lui raser la tête, des marques d’aliénation frénétique.

A raison, de l'êtât mental où l'auraient réduit ses dix premiers jours de captivité, Oscar Wilde, condamné à deux ans de hard labour, aurait été transféré dans une cellule capitonnée par les autorités de la prison de Pentonville : il aurait donné à plusieurs reprises et notamment en voyant le barbier de la prison qui venait lui raser la tète, des marques d'aliénation frénétique.

A raison de l’état mental où l’auraient réduit ses dix premiers jours de captivité, Oscar Wilde, condamne a deux ans de hard labour, aurait été transféré dans une cellule capitonnée par les autorités de la prison de Pentonville : il auiait donné à plusieurs reprises, et notamment en voyant le barbier de la prison qui venait lui raser la tête, des marques d’alienation frénétique.

La Pall Mall Gazette est informée qu’à raison de l’état mental où l’auraient réduit ses dix premiers jours de captivité, Oscar Wilde, condamné à deux ans de hard labour, aurait été transféré dans une cellule capitonnée par les autorités de la prison de Pentonville : il aurait donné, dit le Herald, à plusieurs reprises, et notamment en voyant le barbier de la prison qui venait lui raser la tête, des marques d’aliénation frénétique.

La Pall Mail Gazette est informée qu'à raison de l'état mental où l'auraient réduit ses dix premiers jours de captivité, Oscar Wilde, condamné a deux ans de hard labour, aurait été transféré dans une cellule capitonnée par les autorités de la prison de Pentonville il aurait donné, dit le Herald, à plusieurs reprises, et notamment en voyant le barbier de la prison qui venait lui raser la tête, des marques d'aliénation frénétique.

Oscar Wilde. — La Pall Mall Gazette dit qu'à raison de l'état mental où l'auraient réduit ses dix premiers jours de captivité, Oscar Wilde, condamné à deux ans de hard labour, aurait été transféré dans une cellule capitonnée par les autorités de la prison de Pentonyille : il aurait donné, dit le Herald, à plusieurs reprises, et notamment en voyant le barbier de la prison qui venait lui raser la tête, des marques d'aliénation frénétique.

Oscar Wilde. -- La Pall Mall Gazette dit qu'à raison de l'état mental où l'auraient réduit ses dix premiers jours de captivité, Oscar Wilde, condamné à deux ans de hard labour, aurait été transféré dans une cellule capitonnée par les autorités de la prison de'Pentonville : il aurait donné, dit le Herald, à plusieurs reprises, et notamment en voyant le barbier de la prison qui venait lui raser là tète, des marques d'aliénation frénétique.

L'avocat du prisonnnier, sir Edward Clarke, compte soumettre prochainement à la Haute Cour une demande en revision tendant à prouver que, sur plusieurs points de loi, la procédure qui a abouti à la condamnation de son client aurait été irrégulière. On doute beaucoup de la valeur juridique et du succès de ce pourvoi. Sir Edward Clarke ne fait que son devoir en épuiliant les instances et les moyens de droit pour son clien

L'avocat du prisonnier, sir Edward Clarke, compte soumettre prochainement à la haute cour une demande en revision tendant à prouver que sur plusieurs points de loi, la procédure qui à abouti à la condamnation de son client aurait été irrégulière. On doute beaucoup de la valeur juridique et du succès de ce pourvoi. Sir Edward Clarke ne fait que son devoir en épuisant les instances et les moyens de droit pour son infortuné client.

L’avocat du prisonnier, sir Edward Clarke, compte soumettre prochainement à la haute cour une demande en révision tendant à prouver que, sur plusieurs points de loi, le procédure qui a abouti à la condamnation de son client aurait été irrégulière. On doute beaucoup de la valeur juridique et du succès de ce pourvoi. Sir Edward Clarke ne fait que son devoir en épuisant les instances et les moyens de droit pour son infortuné client.

L’avocat du prisonnier, sir Edward Clarke, compte soumettre prochainement à là haute cour une demande en révision tendant à prouver que, sur plusieurs points de loi, la procédure qui a abouti à la condamnation de son client aurait été irrégulière. On doute beaucoup de la valeur juridique du succès de ce pourvoi. Sir Edward Clarke ne fait que son devoir en épuisant les instances et les moyens de droit pour son infortuné client.

L’avocat du prisonnier, sir Edward Clarke, compte soumettre prochainement à la haute cour une demande en révision tendant à prouver que sur plusieurs points de loi la procedure qui a abouti à la coudamnation de son client aurait été irrégulière. On doute beaucoup de la valeur juridique et du succès de ce pourvoi. Sir Edward Clarke ne fait que son devoir en épuisant les installées et les moyens de droit pour son infortuné client.

L'avocat du prisonnier, sir Edward Clarke, compte soumettre prochainement à la haute cour une demande en revision tendant à prouver que, sur plusieurs points de loi, la procédure qui a abouti à la condamnation de son client aurait été irrégulière. Sir Edward Clarke veut épuiser les instances et les moyens de droit pour son client.

L'avocat du prisonnier, sir Edward Clarke, compte soumettre prochainement à la haute cour une demande en revision tendant à prouver que, sur plusieurs points de loi, la procédure qui a abouti à la condamnation de son client aurait été irrégulière. Sir Edward Clarke veut épuiser les instances et les moyens de droit pour son client.

L’avocat du prisonnier, sir Edward Clarke compte soumettre prochainement à la Haut- Cour une demande en révision tendant à prouver que, sur plusieurs points de droit, la procédure qui a abouti à la condamnation de son client aurait été irrégulière. On doute beaucoup de la valeur juridique et du succès de ce pourvoi.

Dispatches from abroad
OSCAR WILDE IN JAIL

London, June 6.

Due to the mental state to which his first ten days of captivity had reduced him, Oscar Wilde, condemned to two years of hard labour, was transferred to a padded cell by the authorities of Pentonville prison: he gave, on several occasions, and in particular when he saw the prison barber who came to shave his head, signs of frenzied alienation.

The prisoner's lawyer, Sir Edward Clarke, intends shortly to submit to the High Court a request for revision tending to prove that, on several points of law, the proceedings which led to his client's conviction were irregular. There are many doubts about the legal value and the success of this appeal. Sir Edward Clarke is only doing his duty by exhausting the instances and legal means for his client