LES SCANDALES DE LONDRES

Les garants d’Oscar Wilde ont comparu mardi matin devant le tribunal de Bow Street, où le siège du juge était occupé par M. Vaughan.

C’est d’abord le révérend Stewart Headlam, clergyman à la physionomie essentiellement grave. Puis, lord Percy Sholto Douglas, de Hawick, frere du marquis de Queensberry et oncle du jeune lord Alfred Douglas.

Le deux garants de l'auteur de Salomé sont le révérend Steward Headlam et lord Percy Solto Douglas de Hawick, propre frère du marquis de Queensberry et oncle du jeune lord Alfred Douglas.

Une fois les cautions de ces deux garants acceptées, on a entendu Oscar Wilde, qui devra, comme lord Sholto Douglas et le révérend Stewart Headlam, déposer devant la cour et voir accepter sa caution, — laquelle a été portée à 2,600 livres sterling, — 62,500 francs.

Une fois les cautions de ces deux garants acceptées, il a entendu le personnage le plus intéressé à la question, c'est-à-dire le prisonnier qui devra, comme lord Sholto Douglas et le révérend Stewart Headlam, déposer devant la cour et voir accepter sa caution, laquelle a été portée à 2,500 livres sterling -- 62,500 francs. La mise en liberté provisoire d'Oscar Wilde a donc été cotée 125,000 francs.

Une fois les cautions de ces deux garants acceptées, le tribunal a entendu le personnage le plus intéressé à la question, c’est-à-dire le prisonnier, qui devra, comme lord Sholto Douglas et le révérend Stewart Headlam, déposer devant la cour et voir accepter sa caution, laquelle a été portée à 2,500 livres sterlin (62,500 francs). La mise en liberté provisoire d'Oscar Wilde a donc été cotée 128,000 francs.

Une fois les cautions de ces deux garants acceptées, le tribunal a entendu le personnage le plus intéressé à la question, c'est-à-dire le prisonnier, qui devra, comme lord Sholto Douglas et le révérend Stewart Headiam, déposer devant la cour et voir accepter sa caution, laquelle a été portée à 2,500 livres sterlin (62,500 francs). La mise en liberté provisoire d'Oscar Wilde a donc été cotée 128,000 francs.

La mise en liberté provisoire d’Oscar Wilde a donc été cotée 125,000 francs.

M. Vaughan remet au conseil un ordre d’élargissement portent le nom du prisonnier. Il consent à ce que cet ordre ne soit pas transmis par la police et à ce que Wilde soit amené à Bow Street dans un fiacre au lieu de faire le trajet dans une voiture cellulaire.

M. Vaughan remet au conseil un ordre d'élargissement portant le nom du prisonnier. Il consent à ce que cet ordre ne soit pas transmis par la police et à ce que Wilde soit amené à Bow street dans un fiacre au lieu de faire le trajet dans une voiture cellulaire.

M. Vaughan remet au conseil un ordre d’élargissement portant le nom du prisonnier. Il consent à ce que cet ordre ne soit pas transmis par la police et à ce que Wilde soit amené à Bow Street dans un fiacre au lieu de faire le trajet dans une voiture cellulaire.

M. Vaughan remet au conseil un ordre d'élargissement portant le nom du prisonnier. Il consent à ce que cet ordre ne soit pas transmis par la police et à ce que Wilde soit amené à Bow street dans un fiacre au lieu de faire le trajet dans une voiture cellulaire.

M. Vaughan remet au conseil un ordre d'élargissement portant le nom du prisonnier. Il consent à ce que cet ordre ne soit pas transmis par la police et à ce que Wilde soit amené à Bow Street dans un fiacre au lieu de faire le trajet dans une voiture cellulaire.

M. Vaughan remet au conseil un ordre d'élargissement portant le nom du prisonnier. Il consent à ce que cet ordre ne soit pas transmis par la police et à ce que Wilde soit amené à Bow street dans un fiacre au lieu de faire le trajet dans une voiture cellulaire.

Wilde, prévenu depuis le matin, attendait au greffe, en toilette de ville, prêt à partir. Les formalités d’écrou ayant été accomplies, il est monté en voiture pour se rendre à Bow street.

Wilde, prévenu depuis le matin, attendait au greffe, en toilette de ville, prêt à partir; les formalités d'écrou ayant été accomplies par M. le colonel Melman, gouverneur d'Holloway, il est monté en voiture pour se rendre à Bow street.

Wilde, prévenu depuis le matin, attendait au greffe, en toilette de ville, prêt à partir. Les formalités d'écrou ayant été accomplies par M. le colonel Melman, gouverneur d'Holloway, il est monté en voiture pour se rendre à Bow street.

Wilde, prévenu depuis le matin, attendait au greffe, en toilette de ville, prêt à partir ; les formalités d’écrou ayant été accomplies par M. le colonel Melman, gouverneur d Holloway, il est monté en voiture pour se rendre à Bow Street.

Wilde, prévenu depuis le matin, attendait au greffe, en toilette de ville, prêt à partir. Les formalités d’écrou aj'ant été accomplies par M. le colonel Melman, gouver neur d’Holloway, il est monté en voiture pour se rendre à Bow Street.

Wilde, prévenu le matin, attendait au greffe, en toilette de ville, prêt à partir. Les formalités d'écrou ayant été accomplies par M. le colonel Melman, gouverneur d'Holloway, il est monté en voiture pour se rendre à Bow street.

Le bruit de son arrivée avait circulé et la salle d'audience était comblé. [...] pour tout le monde [...]. C'est au seuil de cette chambre que Wilde s’est vu, pour la première fois depuis le 5 avril, délivré de la présence des policemen. Sa caution acceptée, il a pu quitter librement Bow Street avec ses amis et sir Edward Clarke, son avocat, qui l'était venu rejoindre. Il était alors environ quatre heures.

Le bruit de son arrivée avait circulé et la salle d'audience était comble. C’a été une déconvenue pour tout le monde d'apprendre que les formalités se dénoueraient en chambre du conseil. C’est au seuil de cette chambre que Wilde s’est vu, pour la première fois depuis le 5 avril, délivré de la présence des policemen. La caution acceptée, il a pu quitter librement Bow Street avec ses amis et sir Edward Clarke, son avocat, qui l’était venu rejoindre. Il était environ quatre heures. Wilde a été conduit au grand hôtel Terminus de Midland railway, où un appartement lui avait été réservé. Sa détention aura duré presque trente-deux jours.

Le bruit de son arrivée avait circulé et la salle d'audience était comble. Ç'a été une déconvenue pour tout le monde d'apprendre que les formalités se dénoueraient en chambre du conseil. C'est au seuil de cette chambre que Wilde s'est vu pour la première fois, depuis le 5 avril, délivré de la présence des policement. Sa caution acceptés, il a pu quitter librement Bow street avec ses amis et sir Edward Clarke, son avocat, qui l'était venu rejoindre. Il était alors environ quatre heures. Wilde a été conduit au grand hôtel Terminus du Midland railway, où un appartement lui avait été réservé. Sa détention aura duré presque trente-deux jours.

Le bruit de son arrivée avait circulé et la salle d'audience était comble. Ç'a été une déconvenue pour tout le monde d'apprendre que tes formalités se dénoueraient en chambre du conseil. C'est au seuil de cette chambre que Wilde s'est vu, pour ta première fois depuis le 5 avril, délivré de la présence des policemen. La caution acceptée, il a pu quitter librement Bowstreet avec ses amis et sir Edward Clarke, son avocat, qui l'était venu rejoindre. Il était environ quatre heures. Wiide a été conduit au grand hôtel Terminus de Midland railway, où un appartement lui avait été réservé. Sa détention aura duré presque trente-deux jours.

THE LONDON SCANDALS

Guarantors for Oscar Wilde appeared in Bow Street Court on Tuesday morning, where the judge's seat was occupied by Mr Vaughan.

First is the Reverend Stewart Headlam, a clergyman with an essentially grave countenance. Then Lord Percy Sholto Douglas, of Hawick, brother of the Marquess of Queensberry and uncle of young Lord Alfred Douglas.

Once the sureties of these two guarantors had been accepted, Oscar Wilde was heard, who, like Lord Sholto Douglas and the Reverend Stewart Headlam, will have to testify before the court and have his surety accepted, — which has been increased to 2,600 pounds sterling — 62,500 francs.

The provisional release of Oscar Wilde was therefore quoted at 125,000 francs.

Mr. Vaughan hands the council a release order bearing the name of the prisoner. He consents to this order not being passed on by the police and to Wilde being brought to Bow Street in a cab instead of traveling in a cell car.

Wilde, warned since the morning, was waiting at the court office, in his street clothes, ready to leave. The prison formalities having been completed, he got into the car to go to Bow street.

Word of his arrival had circulated and the courtroom was packed. [...] for everyone [...]. It was on the threshold of this room that Wilde saw himself, for the first time since April 5, freed from the presence of the policemen. His bail accepted, he was able to leave Bow Street freely with his friends and Sir Edward Clarke, his lawyer, who had come to join him. It was then about four o'clock.

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