ÉCHOS DE PARTOUT

Il parait que les renseignements donnés sur le traitement infligé à Oscar Wilde, dans sa prison, étaient un peu trop poussés au noir. L’esthete n'est certainement pas sur un lit de roses, mais il n’est pas non plus supplicié comme on le prétendait.

C’est, du moins, ce qui résulte d’une lettre que le gouverneur de la prison de Pentonville vient d’adresser à M. William K. Wilde, frère du détenu :

Or il paraîtrait que ces renseignements étaient très exagères. C'est, du moins ce qui résulte d’une lettre que le gouverneur de la prison de Pentonville vient d’adresser à M. William K. Wilde, frère du détenu :

Or il paraîtrait que ces renseignements étaient très exagérés. C'est, du moins ce qui résulte d'une lettre que le gouverneur de le prison de Pentonville vient d'adresser à M. William K. Wilde, frère du détenu :

Or, il paraitrait que ces renseigne mente étaient très exagérés. C’est, du moine, ce qui résume d’une lettre que le gouverneur de la prison de Pentonville vient d’adresser à M. William H. Wilde, frère du détenu.

« Les rapports des journaux, écrit-il, sont de cruelles inventions. Le prisonnier va bien. Dans l’éventualité d’une maladie grave, une communication vous serait immédiatement en voyée ».

« Les rapports des journaux, écrit-il, sont de cruelles inventions. Le prisonnier va bien. Dans l'éventualité d'une maladie grave, une communication vous serait immédiatement envoyée ».

« Les rapports des journaux, écrit-il, sont de cruelles inventions. Le prisonnier va bien. Dans l’éventualité d’une maladie grave, une communication vous serait immédiatement envoyée ».

"Les rapports des journaux, écrit-il, sont de cruelles inventions Le prisonnier va bien. Dans l’éventualité d’une maladie grave, une communications vous serait immédiatement envoyée."

Les rapports des journaux sont de cruelles inventions. Le prisonnier va bien. Dans l'éventualité d'une maladie grave une communication vous serait immédiatement envoyée.

Interrogé par un rédacteur du Stard, le gouverneur a ajouté :

« Aucun prisonnier n’est astreint ici à aucun travail s’il n’a été déclaré capable de le supporter par les médecins, qui l’examinent minutieusement ».

« Aucun prisonnier n'est astreint ici à aucun travail, s’il n’a été déclaré capable de le supporter par les médecins, qui l’examinent minutieusement. »

« Aucun prisonier n'est astreint ici à aucun travail, s'il n'a été déclaré capable de le supporter par les médecins, qui l'examinent minutieusement. »

"Aucun prisonnier n’est astreint ici à aucun travaille, s’il n’a été déclaré capable de le supporter par les médecins, qui l’examinent minutieusement."

En fait, Oscar Wilde est actuellement à l'infirmerie et a été dispensé des obligations les plus pénibles.

En fait, Oscar Wilde est actuellement à l’infirmerie et a été dispensé des obligations les plus pénibles.

En fait, Oscar Wilde est actuellement à l'infirmerie et a été dispensé des obligations les plus pénibles.

En fait, Oscar Wilde est actuellement à l’infirmerie et a été dispensé des obligations les plus pénibles.

Il n’a pas plus à travailler qu’un détenu ordinaire, mais le régime lui sera appliqué dans toute sa rigueur dès qu’il sera de nouveau en état de le supporter.

Il n’a pas plus à travailler qu’un détenu ordinaire, mais le régime lui sera appliqué dans toute sa rigueur dès qu’il sera de nouveau en état de le supporter.

Il n'a pas plus à travailler qu'un détenu ordinaire, mais le régime lui sera appliqué dans toute sa rigueur dès qu'il sera de nouveau en état de le supporter.

Il n’a pas plus à travailler qu'un détenu ordinaire, mais le régime lui sera appliqué dans toute sa rigueur dès qu'il sera de nouveau en état de le supporter.

Montécourt.

ECHOES FROM EVERYWHERE

It seems that the information given on the treatment inflicted on Oscar Wilde, in his prison, was a little too black. The esthete is certainly not on a bed of roses, but neither is he tortured as claimed.

This, at least, is what results from a letter that the governor of the Pentonville prison has just addressed to Mr. William K. Wilde, brother of the prisoner:

"Newspaper reports," he writes, "are cruel inventions." The prisoner is fine. In the event of a serious illness, a communication would be sent to you immediately”.

Asked by a Stard editor, the governor added:

“No prisoner is compelled here to do any work if he has not been declared capable of supporting it by the doctors, who examine him minutely”.

In fact, Oscar Wilde is currently in the infirmary and has been excused from the most onerous obligations.

He does not have to work any more than an ordinary prisoner, but the regime will be applied to him in all its rigor as soon as he is again able to bear it.

Montecourt.