Nouvelles étrangères
ANGLETERRE

L'affaire Oscar Wilde. - LONDRES, 11 avril. - Aujourd'hui ont comparu devant le juge de Bow Street Oscar Wilde et Taylor, les héros du scandale de Londres.

La salle est trop petite pour contenir le public. On sait qu'il s'agit de savoir si Oscar Wilde et Taylor seront renvoyés en correctionelle.

Le premier est défendu par M. Clarcke. Taylor par M. Newton. Wilde est abattu. Taylor fait preuve de cynisme. L'accusation reproche à ce dernier d'avoir procuré à Wilde des jeunes gens dans un but que la loi reprouve.

Un témoin, Parques, raconte les entrevues qu'il a eues avec Wilde dans certain hôtel garni.

M. Newton, par ses questions, insinue que Parques est un individu depravé et indigne de la moindre confiance.

Le ministère public, indigné de la tournure que M. Newton tend à donner à l'affaire, menace d'une nouvelle enquête, qui fera découvrir des faits plus odieux encore.

Le scandale est à son comble.

Le témoin Schelli raconte qu'il passa la nuit avec Wilde couché dans le même lit.

Le témoin Schelli raconte qu'il passa la nuit avec Wilde couché dans le même lit.

Quelques autres témoins donnent des explications qui n'ajoutent rien à la clarté suffisante des faits.

Quelques autres témoins de peu d'importance donnent quelques explications qui n'ajoutent rien à la triste clarté, suffisament complète d'ailleurs, des faits déjà révélés.

Quelques autres témoins de peu d'importance donnent quelques explications qui n'ajoutent rien à la triste clarté, suffisament complète d'ailleurs, des faits déjà révélés.

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Quelques autres témoins de peu d’importance donnent quelques explications qui n'ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète d’ailleurs, des faits déjà révélés.

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Quelques autres témoins, de peu d’importance, donnent quelques explications qui n’ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète, d'ailleurs, des faits déjà révélés.

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Quelques autres témoins de peu d’importance donnent quelques explications qui n’ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète, d’ailleurs, des faits déjà révêlés.

Quelques autres témoins de peu d'importance donnent quelques explications qui n'ajoutent rien à la triste clarté, suffisamment complète d'ailleurs, des faits déjà révélés.

Le juge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.

Sir John Bridge ajourne l’affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.

Sir John Bridge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.

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Sir John Bridge ajourne l’affaire à aujourd’hui en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.

Sir John Bridge ajourne l’affaire à aujourd'hui en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.

Sir John Bridge ajourne l’affaire à aujourd’hui en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.

Sir John Bridge ajourne l’affaire à aujourd’hui en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.

Sir John Bridge ajourne l’affaire à huitaine et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.

Le magistrat ajourne l'affaire à jeudi et refuse de laisser les accusés en liberté sous caution.

Le magistrat ajourne l’affaire à jeudi et refuse de laisser les accusés en liberté sous caution.

Le magistrat ajourne l'affaire à jeudi et refuse de laisser les accusés en liberté sous caution.

Sir John Bridge ajourne l’affaire à huitaine et refuse de laisser les inculpés en liberté sous caution.

Foreign News
ENGLAND

The Oscar Wilde Affair. - LONDON, April 11. - Today appeared before Bow Street Judge Oscar Wilde and Taylor, the heroes of the London scandal.

The room is too small to hold the audience. We know it's about whether Oscar Wilde and Taylor will be sent back to corrections.

The first is defended by Mr. Clarke. Taylor by Mr. Newton. Wilde is shot. Taylor is cynical. The prosecution accuses the latter of having provided Wilde with young people for a purpose that the law reproaches.

A witness, Parques, recounts the interviews he had with Wilde in a certain furnished hotel.

Mr. Newton, by his questions, insinuates that Parques is a depraved and untrustworthy individual.

The public ministry, indignant at the turn which Mr. Newton tends to give to the business, threatens of a new investigation, which will make discover more odious facts still.

The scandal is at its peak.

The witness Schelli relates that he spent the night with Wilde lying in the same bed.

A few other witnesses give explanations which add nothing to the sufficient clarity of the facts.

The judge adjourns the case to tomorrow in eight and refuses to let the two prisoners out on bail.

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