LES SCANDALES DE LONDRES
Le procès Oscar Wilde

Londres, 11 avril.

L’auteur anglais Oscar Wilde et son co-inculpé Taylor ont comparu devant le juge de Bow-Street, sir John Bridge, qui doit prononcer sur le renvoi des accusés devant les assises criminelles.

L’audience a été consacrée au contre-interrogatoire des témoins par la défense.

Sir Edward Clarke, avocat, renonce à ce droit. Mais M. Newton, avocat de Taylor, pose de nombreuses questions aux témoins.

Malheureusement pour les accusés, les réponses ne font que confirmer les charges qui pèsent sur eux.

Les débats font connaître nombre de détails d’une immoralité scandaleuse.

Sir John Bridge ajourne l’affaire à huitaine et refuse de laisser les inculpés en liberté sous caution.

Sir John Bridge ajourne l’affaire à huitaine et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.

Sir John Bridge ajourne l'affaire à demain en huit, et refuse de laisser les deux prisoniers en liberté sous caution.

Sir John Bridge ajourne l’affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.

Sir John Bridge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.

Sir John Bridge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.

Sir John Bridge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.

Sir John Bridge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.

Sir John Bridge ajourne l’affaire à demain en huit, et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.

Sir John Bridge ajourne l’affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.

Sir John Bridge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les déux prisonniers en liberté sous caution.

Sir John Bridge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.

Sir John Bridge ajourne l’affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers eu liberté sous caution.

Sir John Bridge ajourne l’affaire à aujourd’hui en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.

Sir John Bridge a ajourné l'affaire à demain en huit et a refusé de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.

Sir John Bridge ajourne l’affaire à aujourd'hui en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.

Sir John Bridge ajourne l’affaire à aujourd’hui en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.

Sir John Bridge a ajourné l'affaire à demain en huit et a refusé de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.

Sir John Bridge ajourne l’affaire à aujourd’hui en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.

Le magistrat ajourne l'affaire à jeudi et refuse de laisser les accusés en liberté sous caution.

Le magistrat ajourne l’affaire à jeudi et refuse de laisser les accusés en liberté sous caution.

Le magistrat ajourne l'affaire à jeudi et refuse de laisser les accusés en liberté sous caution.

Le juge ajourne l'affaire à demain en huit et refuse de laisser les deux prisonniers en liberté sous caution.

THE LONDON SCANDALS
The Oscar Wilde Trial

London, April 11.

The English author Oscar Wilde and his co-accused Taylor appeared before the judge of Bow-Street, Sir John Bridge, who must rule on the dismissal of the defendants before the criminal assizes.

The hearing was devoted to the cross-examination of witnesses by the defence.

Sir Edward Clarke, barrister, waives this right. But Mr. Newton, Taylor's lawyer, asks many questions of the witnesses.

Unfortunately for the defendants, the answers only confirm the charges against them.

The debates reveal many details of scandalous immorality.

Sir John Bridge adjourns the case for a week and refuses to let the accused free on bail.

Document matches
None found