LES JOURNAUX DE CE MATIN
OSCAR WILDE EN PRISON
Le Gaulois reçoit de Londres les détails suivants sur Oscar Wilde en prison :

Oscar Wilde, dont les cheveux, les longs cheveux d’esthète, ont été coupés ras, est vêtu d’un costume de toile à voile marqué d’une flèche, ce qu’on appelle un broad arrow, signe distinctif des convicts.

Oscar Wilde, dont les cheveux, les longs cheveux d’esthète, ont été coupés ras, est vêtu d’un costume de toile à voile marqué d’une flèche, ce qu’on appelle un broad arrow, signe distinctif des convicts.

Oscar Wilde, dont les cheveux, les longs cheveux d’esthète, ont été coupés ras, est vêtu d’un costume de toile à voile marqué d’une flèche, ce qu’on appelle un broad arrow, signe distinctif des convicts.

Oscar Wilde, dont les cheveux, les longs cheveux d’esthète, ont été coupés ras, est vêtu d’un costume de toile à voile marqué d’une flèche, ce qu’on appelle un froid arrow, signe distinctif des convicts.

Sa cellule, très étroite, a pour tout meuble un lit ou pour mieux dire une planche reposant sur quatre pieds et sur laquelle on a placé une couverture. Il n’y a pas de matelas et l’oreiller est en bois. A quelques pas dc là, un escabeau.

Sa cellule, très étroite, a pour tout meuble un lit ou pour mieux dire une planche reposant sur quatre pieds et sur laquelle on a placé une couverture. Il n'y a pas de matelas et l'oreiller est en bois. A quelques pas de là, un escabeau.

Sa cellule, très étroite, a pour tout meuble un lit ou, pour mieux dire, une planche reposant sur quatre pieds et sur laquelle on a placé une couverture. Il n’y a pas de matelas et l’oreiller est en bois. A quelques pas de là, un escabeau.

Sa cellule, très étroite, a pour tout meuble un lit ou, pour mieux dire, une planche reposant sur quatre pieds et sur laquelle on a placé une couvertur, Il n’y a pas ds matelas et l’oreiller est en bois. A quelques pas de là, un escabeau.

Sa cellule, très étroite, a par tout meuble un lit ou, pour mieux dire, une planche repassant sur quatre pieds et sur laquelle on a placé une couverture. Il n’y a pas de matelas et l’oreiller est en bois. A quelques pas de là, un escabeau.

Oscar Wilde est soumis à trois sortes de travaux. D’abord dans sa chambre il doit procéder, pendant un certain nombre d'heures, assis sur son escableau, à la réduction en tout petits morceaux, d’énormes cordes goudronnées, de ces cordes dont on se sert pour amarrer les navires.

Oscar Wilde est soumis à trois sortes de travaux. D’abord dans sa chambre il doit procéder, pendant un certain nombre d’heures, assis sur son escabeau, à la réduction en tout petits morceaux, d’énormes cordes goudronnées, de ces cordes dont on se sert pour amarrer les navires.

Oscar Wilde est soumis à trois sortes de travaux. D'abord dans sa chambre il doit procéder, pendant un certain nombre d’heures, assis sur son escabeau, à la réduction en tout petits morceaux, d’énormes cordes goudronnées, de ces cordes dont on se sert pour amarrer des navires.

Oscar Wilde est soumis à trois sortes de travaux. D’abord dans sa chambre il doit procéder, pendant un certain nombre d’heures, assis sur son escabeau, à la réduction en tout petits morceaux, d’énormes cordes goudronnées, de ces cordes dont on se sert pour amarrer des navires.

Oscar Wilde est soumis à trois sortes de travaux. D'abord, dans sa chambre il doit procéder, pendant un certain nombre d'heures, assis sur son escabeau, à la réduction en tout petits morceaux, d'énormes cordes goudronnées, de ces cordes dont on se sert pour amarrer les navires. Il fait ce travail â l'aide d'un clou — et de ses ongles. Travail pénible, atroce, fait pour déchirer, abîmer irrémédiablement les mains.

Orcar Wilde est soumis à trois sortes de travaux. D'abord dans sa chambre il doit procéder pendant un certain nombre d'heures, assis sur son escabeau, à la réduction en tout petits morceaux, d'énormes cordes goudronnées, de ces cordes dont on se sert pour amarrer les navires. Il fait ce travail à l'aide d'un clou — et de ses ongles. Travail pénible, atroce, fait pour déchirer, abîmer irrémédiablement les mains.

» Oscar Wilde est soumis à trois sortes de travaux. D'abord dans sa chambre il doit procéder, pendant un certain nombre d'heures, assis sur son escabeau, à la réduction en tout petits morceaux, d'énormes cordes goudronnée, de ces cordes dont on se sert pour amarrer les navires. Il fait ce travail à l'aide d'un clou — et de ses ongles. Travail pénible, atroce, fait pour déchirer, abîmer irrémédiablement les mains.

Il fait ce travail à l’aide d’un clou — et de ses ongles. Travail pénible, atroce, fait pour déchirer, abîmer, irrémédiablement les mains.

Il fait ce travail à l’aide d’un clou — et de ses ongles. Travail pénible, atroce, fait pour déchirer, abîmer, irrémédiablement les mains.

Il fait ce travail à l’aide d’un clou — et de ses ongles. Travail pénible, atroce, fait pour déchirer, abîmer, irrémédiablement les mains.

Il l'ait ce travail à l’aide d'un clou — et de ses ongles. Travail pénible, atroce, fait pour déchirer, abîmer, irrémédiablement les mains.

Puis, on le conduit dans une cour où il déplace un certain nombre de boulets de canon, les transportant un à un d’un endroit à un autre et les plaçant en des tas symétriques.

Puis, on le conduit dans une cour où il déplace un certain nombre de boulets de canon, les transportant un à un d’un endroit à un autre et les plaçant en des tas symétriques.

Puis, on le conduit dans une cour où il déplace un certain nombre de boulets de canon, les transportant un à un d’un endroit à un autre et les plaçant en des tas symétriques.

Puis, on le conduit dans une cour où il déplace un certain nombre de boulets de canon, les transportant un à un d’un endroit à un autre et les plaçant en des tes symétriques.

Le travail n’est pas plutôt achevé qu’il est détruit par Wilde lui-même et le prisonnier est obligé de reporter les boulets à l'endroit primitif, un à un.

Le travail n’est pas plutôt achevé qu’il est détruit par Wilde lui-même et le prisonnier est obligé de reporter les boulets à l’endroit primitif, un à un.

Le travail n’est pas plutôt achevé qu’il est détruit par Wilde lui-même et le prisonnier est obligé de reporter les boulets à l’endroit primitif, un à un.

Le travail n’est pas plutôt achevé qu’il est détruit par Wilde lui même et le prisonnier est obligé de reporter les boulets à l’endroit primitif, un à un.

Enfin, il est soumis à la peine du tread mill, la plus dure de toutes. Figurez-vous une immense roue à l’intérieur de laquelle se trouvent des marches circulaires.

Enfin, il est soumis à la peine du tread mill, la plus dure de toutes. Figurez-vous une immense roue à l’intérieur de laquelle se trouvent des marches circulaires.

Enfin, il est soumis à la peine du tread mill, la plus dure de toutes. Figurez-vous une immense roue à l’intérieur de laquelle se trouvent des marches circulaires.

Enfin, il est soumis à la peine du tread mill, la plus dure de toutes. Figurez-vous une immense roue à l’intérieur de laquelle se trouvent des marches circulaires.

Oscar Wilde, placé sur une des marches, fait mouvoir aussitôt la roue à l’aide de ses pieds. Les marches se succèdent ainsi sous ses pieds dans une évolution rapide et régulière.

Oscar Wilde, placé sur une des marches, fait mouvoir aussitôt la roue à l’aide de ses pieds. Les marches se succèdent ainsi sous ses pieds dans une évolution rapide et régulière.

Oscar Wilde, placé sur une des marches, fait mouvoir aussitôt la roue à l’aide de ses pieds. Les marches se succèdent ainsi sous ses pieds dans une évolution rapide et régulière.

Oscar Wilde, placé sur une des marches, fait mouvoir aussitôt la roue à l’aide de ses pieds. Les marches se succèdent ainsi sous ses pieds dans une évolution rapide et régulière.

Ses jambes sont soumises par là à un mouvement précipité qui devient une fatigue énervante, affolante au bout de quelques mineurs. Mais il doit maîtriser cette fatigue, cet énervement, cette souffrance, et continuer à jouer des jambes, sous peine d’être renversé par l’action même de la roue, enlevé et projeté.

Ses jambes sont soumises par là à un mouvement précipité qui devient une fatigue énervante, affolante au bout de quelques minutes. Mais il doit maîtriser cette fatigue, cet énervement, cette souffrance, et continuer à jouer des jambes, sous peine d’être renversé par l’action même de la roue, enlevé et projeté.

Ses jambes sont soumises par là à un mouvement précipité qui devient une fatigue énervante, affolante au bout de quelques minutes. Mais il doit maîtriser cette fatigue, cet énervement, cette souffrance, et continuer à jouer des jambes, sous peine d’être renversé par l’action même de la roue, enlevé et projeté.

Ses jambes sont soumises par là à un mouvement précipité qui devient une fatigue énervante, affolante au bout de quelques minutes. Mais il doit maîtriser cette fatigue, cet énervement, cette souffrance, et continuer à jouer des jambes, sous peine d’être renversé par l’action même de la roue, enlevé et projeté.

Cet exercice fantastique dure un quart d’heure. On donne à Wilde cinq minutes de repos, nuis l’exercice recommence.

Cet exercice fantastique dure un quart d'heure. On donne à Wilde cinq minutes de repos, puis l'exercice recommence.

Cet exercice fantastique dure un quart d’heure. On donne à Wilde cinq minutes de repos, puis l’exercice recommence.

Cet exercice fantastique dure un quart d’heure. Ou donne à Wilde cinq minutes de repos, puis l’exercice recommence.

Il est toujours seul et ne peut parler à son geôlier qu’à certains moments. Toute correspondance lui est interdite, et toute lecture, sauf celle d'une bible et d’un livre de prières placés à la tète de la planche qui lui sert de lit.

Il est toujours seul et ne peut parler à son geôlier qu’à certains moments. Toute correspondance lui est interdite, et toute lecture, sauf celle d’une Bible et d’un livre de prières placés à la tête de la planche qui lui sert de lit.

Il est toujours seul et ne peut parler à son geôlier qu’à certains moments. Toute correspondance lui est interdite, et toute lecture sauf celle d’une Bible et d’un livre de prières placés à la tête de la planche qui lui sert de lit.

Il est toujours seul et ne peut parler à son geôlier qu’à certains moments. Toute correspondance lui est interdite, et toute lecture, sauf celle d’une bible et d’un livre de prières placés à la tête de la planche qui lui sert de lit.

Il est toujours seul et ne peut parler à son geôlier qu'à certains moments. Toute correspondance lui est interdite et toute lecture, sauf celle d'une bible et d'un livre de prières placés à la tête de la planche qui lui sert de lit. On pense que ses parents ne serent admis à le voir qu'à la fin de l'année.

» Il est toujours seul et ne peut parler à son geôlier qu'à certains moments. Toute correspondance lui est interdite et toute lecture, sauf celle d'une bible et d'un livre de prières placés à la tête de la planche qui lui sert de lit. On pense que ses parents ne seront admis à le voir qu'à la fin de l'année.

On pense que ses parents ne seront admis à le voir qu’à la fin de l’année.

On pense que ses parents ne seront admis à le voir qu’à la fin de l’année.

On pense que ses parents ne seront admis à le voir qu’à la fin de l’année.

On pense que ses parents ne seront admis à le voir qu’à la fin de l’année.

Comme nourriture, on lui sort de la viande et du pain noir. Il ne boit que de l’eau, naturellement. Les repas sont à heure fixé, car il est de toute importance qu’il suive un régime, régulier pour accomplir ces travaux si durs auxquels il est soumis tous les jours.

Comme nourriture, on lui sert de la viande et du pain noir. Il ne boit que de l’eau, naturellement. Les repas sont à heure fixe, car il est de toute importance qu’il suive un régime régulier pour accomplir ces travaux si durs auxquels il est soumis tous les jours.

Comme nourriture, on lui sert de la viande et du pain noir. Il ne boit que de l’eau, naturellement. Les repas sont à heure fixe, car il est de toute importance qu’il suive un régime régulier pour accomplir ces travaux si durs auxquels il est soumis tous les jours.

» Comme nourriture, on lui sert de la viande et du pain noir. Il ne boit que de l'eau, naturellement. Les repas sont à heure fixe, car il est de toute importance qu'il suive un régime régulier pour accomplir ces travaux si durs auxquels il est soumis tous les jours.

Comme nourriture, ou lui sert de la viande et du pain noir. Il ne boit que de l’eau, naturellement. Les repas sont à heure fixe, car il est de toute importance qu’il suive un régime régulier pour accomplir ces travaux si durs auxquels il est soumis tous les jours.

Comme nourriture, on lui sert de la viande et du pain noir. Il ne boit que de l'eau, naturellement. Les repas sont à heure fixe, car il est de toute importance qu'il suive un régime régulier pour accomplir les travaux si durs auxquels il est soumis tous les jours.

Le dimanche, il est conduit à la chapelle de la prison ou il assiste au service divin en compagnie des autres convicts. Il écoute le sermon, non seulement à l’église, mais dans sa chambre, où le clergyman vient le voir une ou deux fois la semaine. Il doit écouter tout ce que le ministre lui dit sans faire une seule observation, sans proférer un seul mot.

Le dimanche, il est conduit à la chapelle de la prison où il assiste au service divin en compagnie des autres convicts. Il écoute le sermon, non seulement à l’église, mais dans sa chambre, où le clergyman vient le voir une ou deux fois la semaine. Il doit écouter tout ce que le ministre lui dit sans faire une seule observation, sans proférer un seul mot.

Le dimanche, il est conduit à la chapelle de la prison où il assiste au service divin en compagnie des autres convicts. Il écoute le sermon, non seulement a l'église, mais dans sa chambre, où le clergyman vient le voir une ou deux fois la semaine. Il doit écouter tout ce que le ministre lui dit sans faire une seule observation, sans proférer un seul mot.

Le dimanche, il est conduit à la chapelle de la prison où il assiste au service divin en compagnie des autres convicts. Il écoute le sermon, non seulement à l’église, mais dans sa chambre, où le clergyman vient le voir une ou deux fois la semaine. Il doit écouter tout ce que le ministre lui dit sans faire une seule observation, sans proférer un seul mot.

» Le dimanche, il est conduit à la chapelle de la prison où il assiste au service divin en compagnie des autres convicts. Il écoute le sermon, non seulement à l'église, mais dans sa chambre, où le clergyman vient le voir une ou deux fois la semaine. Il doit écouter tout ce que le ministre lui dit sans faire une seule observation, sans proférer un seul mot.

Oscar Wilde ne semble pas souffrir physiquement du « hard labour ». Un convict libéré de la prison de Pentonville, avant-hier, a dit qu’il avait assisté au service dimanche en compagnie d’Oscar Wilde et que celui-ci semblait se porter très bien.

Oscar Wilde ne semble pas souffrir physiquement du « hard labour ». Un convict libéré de la prison de Pentonville, avant-hier, a dit qu’il avait assisté au service dimanche, en compagnie d’Oscar Wilde et que celui-ci semblait se porter très bien.

Oscar Wilde ne semble pas souffrir physiquement du « hard labour ». Un convict libéré de la prison de Pentonville, avant-hier, a dit qu’il avait assisté au service dimanche, en compagnie d’Oscar Wilde et que celui-ci semblait se porter très bien.

Oscar Wilde ne semble pas souffrir physiquement du « hard labour ». Un convict libéré de la prison de Pentonville, avant-hier, a dit qu’il avait assisté au service dimanche en compagnie d’Oscar Wilde et que celui-ci semblait se porter très bien.

» Oscar Wilde ne semble pas souffrir physiquement du hard labour. Un convict libéré de la prison de Pentonville, avant-hier, a dit qu'il avait assisté au service dimanche en compagnie d'Oscar Wilde et que celui-ci semblait se porter très bien.

Un convict libéré de la prison de Pentonville, avant-hier, a dit qu'il avait assisté au service dimanche en compagnie d'Oscar Wilde et que celui-ci semblait se porter très bien.

THIS MORNING'S NEWSPAPERS
OSCAR WILDE IN JAIL
The Gaul receives from London the following details about Oscar Wilde in prison:

Oscar Wilde, whose hair, the long hair of an esthete, has been cut short, is dressed in a sailcloth suit marked with an arrow, what is called a broad arrow, a distinctive sign of the convicts.

His cell, which is very narrow, has for its only furniture a bed, or rather a board resting on four legs and on which a blanket has been placed. There is no mattress and the pillow is wooden. A few steps from there, a stepladder.

Oscar Wilde is subjected to three kinds of work. First in his room he must proceed, for a certain number of hours, seated on his ladder, to the reduction into very small pieces, enormous tarred ropes, the ropes which are used to moor ships.

He does this work with a nail—and his fingernails. Painful, atrocious work, made to tear, damage, irreparably the hands.

Then he is led into a yard where he moves a number of cannonballs, transporting them one by one from place to place and placing them in symmetrical piles.

The work is no sooner finished than it is destroyed by Wilde himself and the prisoner is obliged to carry the balls back to the original place, one by one.

Finally, he is subject to the penalty of the treadmill, the harshest of all. Imagine a huge wheel inside which there are circular steps.

Oscar Wilde, placed on one of the steps, immediately moves the wheel with his feet. The steps follow one another under his feet in a rapid and regular evolution.

His legs are thus subjected to a hasty movement which becomes an enervating, maddening fatigue after a few minors. But he must master this fatigue, this nervousness, this suffering, and continue to play with his legs, on pain of being knocked down by the very action of the wheel, carried off and thrown.

This fantastic exercise lasts a quarter of an hour. Wilde is given five minutes rest, then the exercise starts again.

He is always alone and can only talk to his jailer at certain times. All correspondence is forbidden to him, and all reading, except that of a Bible and a prayer-book placed at the head of the board which serves him as a bed.

It is believed that his parents will not be allowed to see him until the end of the year.

As food, he is given meat and black bread. He only drinks water, of course. Meals are at set times, for it is of the utmost importance that he follow a regular diet in order to accomplish these hard tasks to which he is subjected every day.

On Sundays, he is taken to the prison chapel where he attends the divine service in the company of the other convicts. He listens to the sermon, not only in church, but in his room, where the clergyman comes to see him once or twice a week. He must listen to everything the minister says to him without making a single comment, without uttering a single word.

Oscar Wilde does not seem to suffer physically from "hard labour". A convict released from Pentonville prison the day before yesterday said he attended the Sunday service with Oscar Wilde and that he seemed to be doing very well.