La famille Queensberry, Douglas

Nous avons parlé de la rencontre scandaleuse entre lord Queensberry et lord Douglas, le père et le fils à Londres; rencontre qui s’est terminée devant le tribunal de Marlborough Street ou les deux adversaires ont été condamnés l’un et l’autre au dépôt d'une caution de 12500 fr. qui leur sera restituées dans six mois si dans ce laps de temps ils ne sont l’objet d’aucune autre poursuite pour des faits analogues.

Nous avons parlé de la rencontre scandaleuse entre lord Queensberry et lord Douglas, le père et le fils à Londres ; rencontre qui s’est terminée devant le tribunal de Malborough Street ou les deux adversaires ont été condamnés l’un et l’autre au dépôt d’une caution de 12500 fr. qui leur sera restituées dans six mois si dans ce laps de temps ils ne sont l’objet d’aucune autre poursuite pour des faits analogues.

Nous avons parlé de la rencontre scandaleuse entre lord Queensberry et lord Douglas, le père et le fils à Londres; rencontre qui s’est terminée devant le tribunal de Malborough Street ou les deux adversaires ont été condamnés l’un et l’autre au dépôt d’une caution de 12500 fr. qui leur sera restituées dans six mois si dans ce laps de temps ils ne sont l’objet d’aucune autre poursuite pour des faits analogues.

Nous avons parlé de la rencontre scandaleuse entre lord Queensberry et lord Douglas, le père et le fils à Londres; rencontre qui s'est terminée devant le tribunal de Malborough Street ou les deux adversaires ont été condamnés l'un et l'autre au dépôt d'une caution de 12500 fr. qui leur sera restituées dans six mois si dans ce laps de temps ils ne sont l'objet d'aucune poursuite pour des faits analogues.

Nous avons parlé de la rencontre scandaleuse entre lord Queensberry et lord Douglas, le père et le fils à Londres; rencontre qui s'est terminée devant le tribunal de Malborough Street ou les deux adversaires ont été condamnés l'un et l'autre au dépôt d'une caution de 12500 fr. qui leur sera restituées dans six mois si dans ce laps de temps ils ne sont l'objet d'aucune poursuite pour des faits analogues.

Il parait que le lord Douglas dont il s’agit n’est pas l’ami d’Oscar Wilde mais un autre fils de lord Queensberry, ainsi qu’il résolue de la lettre suivante reçue et publiée par le Temps.

Il paraît que le lord Douglas dont il s'agit n'est pas l'ami d'Oscar Wild mais un autre fils de lord Queensberry, ainsi qu'il résulte de la lettre suivante reçue et publiée par le Temps.

Il paraît que le lord Douglas dont il s'agit n'est pas l'ami d'Oscar Wild mais un autre fils de lord Queensberry, ainsi qu'il résulte de la lettre suivante reçue et publiée par le Temps.

Il parait que le lord Douglas dont il s’agit n'est pas l'ami d’Oscar Wild mais un autre fils de lord Queensberry, ainsi qu’il résulte de la lettre suivante reçue et publiée par le Temps.

Il parait que le lord Douglas dont il s’agit n’est pas l’ami d’Oscar Wild mais un autre fils de lord Queensberry, ainsi qu’il résulte de la lettre suivante reçue et publiée par le Temps.

Le 22 mai.
Monsieur,
Je viens de lire dans votre journal une version tout à fait inexacte de l’affaire de mon frère, le marquis de Queensberry. Ce n’est pas moi malheureusement qui s’est battu avec lord Queensberry, c’est mon frère ainé lord Douglas of Hawick. Ce n’est pas aussi, comme vous le cites à cause du verdict contre Taylor que mon frire a fait ce qu’il a fait, puisqu’il ne connaît pas Taylor et n’a jamais même parlé de lui.
C’est parce que le marquis, depuis deux mois, n’a pas cessé d’écrire à la femme de mon frère des lettres d’une obscénité et d’une grossiéreté incroyables.
Encore une erreur assez sérieuse que vous avez faites c’est de parler de madame ma mère, la marquise de Queensberry, comme la femme divorcée de mon père. Permettez-moi de vous faire connaisse, monsieur, que c’est lui qui est le mari divorcé de cette dame le mari divorcé a cause de sa cruauté et de son adultérie depuis huit ans. Ajoutons que marquis s’est encore marié il y a quinze mois avec une jeune fille de dix-sept ans, et qui est encore divorcé.
Je vous prie, monsieur, de vouloir bien agréer mes excuses pour les fautes que j’ai dû faire dans une langue que je suis inaccoutumé à écrire, et en même temps mes compliments très distingués.
Alfred Douglas.

Le 22 mai.Monsieur,Je viens de lire dans votre journal une version tout à tait inexacte de l’affaire de mon frère, le marquis de Queensberry. Ce n’est pas moi malheureusement qui s’est battu avec lord Queensberry, c’est mon frère ainé lord Douglas of Hawick. Ce n’est pas aussi, comme vous le dites à cause du verdict contre Taylor que mon frère a fait ce qu’il a fait, puisqu’il ne connaît pas Taylor et n’a jamais même parlé de lui.C’est parce que le marquis, depuis deux mois, n’a pas cessé d’écrire à la femme de mon frère des lettres d’une obscénité et d’une grossièreté incroyables.Encore une erreur assez sérieuse que vous avez faites c’est de parler de madame ma mère, la marquise de Queensberry, comme la femme divorcée de mon père. Permettez-moi de vous faire connaître, monsieur, que c’est lui qui est le mari divorcé de cette dame le mari divorcé a cause de sa cruauté et de son adultérie depuis huit ans. Ajoutons que le marquis s’est encore marié il y a quinze mois avec une jeune fille de dix-sept ans, et qui est encore divorcé.Je vous prie, monsieur, de vouloir bien agréer mes excuses pour les fautes que j’ai dû faire dans une langue que je suis inaccoutumé à écrire, et en même temps mes compliments très distingués.Alfred Douglas.

Monsieur,Je viens de lire dans votre journal une version tout à fait inexacte de l’affaire de mon frère, le marquis de Queensberry. Ce n’est pas moi malheureusement qui s’est battu avec lord Queensberry, c’est mon frère aîné lord Douglas of Hawick. Ce n’est pas aussi, comme vous le dites à cause du verdict contre Taylor que mon frère a fait ce qu’il a fait, puisqu’il ne connaît pas Taylor et n’a jamais même parlé avec lui.C’est parce que le marquis, depuis deux mois, n’a pas cessé d’écrire à la femme de mon frère des lettres d’une obscénité et d’une grossièreté incroyables.Encore une erreur assez sérieuse que vous avez faite c’est de parler de madame ma mère, la marquise de Queensberry, comme la femme divorcée de mon père Permettez moi de vous faire connaître, monsieur, que c’est lui qui est le mari divorcé de cette dame, le mari divorcé à cause de sa cruauté et de son adulterie depuis huit ans. Ajoutons que le marquis s’est encore marié il y a quinze mois avec une jeune fille de dix-sept ans, et qu’il est encore divorcé.Je vous prie, monsieur, de vouloir bien agréer mes excuses pour les fautes que j’ai dû faire dans une langue que je très peu acoutumé à écrire et en meme temps, mes compliments très distingués.Alfred Douglas.

Le 22 mai.Monsieur,Je viens de lire dans votre journal une version tout a fait inexacte de l’affaire de mon frère, le marquis de Queensberry. Ce n’est pas moi malheureusement qui s’est battu avec lord Queensberry, c’est mon frère aîné lord Douglas of Hawick. Ce n’est pas aussi, comme vous le dites, à cause du verdict contre Taylor que mon frère a fait ce qu’il a fait, puisqu’il ne connaît pas Taylor et n’a jamais même parlé avec lui.C’est parce que le marquis, de puis deux mois, n’a pas cessé d’écrire à la femme de mon frère des lettres d’une obscénité et d’une grossièreté incroyables.Encore une erreur assez sérieuse que vous avez faite, c’est de parler de madame ma mère, la marquise de Queensberry, comme la femme divorcée de mon père. Permettez-moi de vous faire connaître, Monsieur, que c’est lui qui est le mari divorcé de cette dame, le mari divorcé à cause de sa cruauté et de son adulterie depuis huit ans. Ajoutons que le marquis s’est encore marié il y a quinze mois avec une jeune fille de dix-sept ans, et qu’il est encore divorcé.Je vous prie, Monsieur, de vouloir bien agréer mes excuses […] fautes que j’ai dû faire dans une langue que je suis très peu accoutumé à encore, et en même temps mes compliments très distingués.Alfred Douglas.

HOTEL DE LA POSTE ROUENLe 22 mai.Monsieur,Je viens de lire dans votre journal une version tout à fait inexacte de l'affaire de mon frère, le marquis de Queensberry. Ce n'est pas moi malheureusement qui s'est battu avec lord Queensberry, c'est mon frère aîné lord Douglas of Hawick. Ce n'est pas aussi, comme vous le dites, à cause du verdict contre Taylor que mon frère a fait ce qu'il v fait, puisqu'il ne connaît pas Taylor et n'a jamais même parlé avec lui.C'est parce que le marquis, depuis deux mois, n'a pas cessé d'écrire à la femme de mon frère des lettrs d'une obscénité et d'une grossièreté incroyables.Encore une erreur assez sérieuse que vous avez faite, c'est de parler de madame ma mère, la marquise de Queensberry, comme la femme divorcée de mon père. Permettez-moi de vous faire connaître, Monsieur, que c'est lui qui est le mari divorcé de cette dame, le mari divorcé à cause de sa cruauté et de son adulterie depuis huit ans. Ajoutons que le marquis s'est encore marié il y a quinze mois avec une jeune fille de dix-sept ans, et qu'il est encore divorcé.Je vous prie, Monsieur, de vouloir bien agréer mes excuses pour les fautes que j'ai dû faire dans une langue que je suis très peu accoutumé à écrire, et en même temps mes compliments très distingués.ALFRED DOUGLAS.

The Queensberry Family, Douglas

We have spoken of the scandalous encounter between Lord Queensberry and Lord Douglas, father and son in London; meeting which ended in the court of Marlborough Street where the two adversaries were condemned one and the other to the deposit of a guarantee of 12500 fr. which will be returned to them in six months if during this period of time they are not the subject of any other prosecution for similar facts.

It appears that the Lord Douglas in question is not the friend of Oscar Wilde but another son of Lord Queensberry, as he determined from the following letter received and published by Le Temps.

May 22.
Sir,
I have just read in your newspaper a completely inaccurate version of the case of my brother, the Marquess of Queensberry. It was not I, unfortunately, who fought with Lord Queensberry, it was my elder brother, Lord Douglas of Hawick. It's also not, as you quote because of the verdict against Taylor that my bro did what he did, since he doesn't know Taylor and has never even spoken of him.
It's because the marquis, for two months, hasn't stopped writing letters of incredible obscenity and rudeness to my brother's wife.
Another rather serious mistake you have made is to refer to my lady, the Marchioness of Queensberry, as my father's divorced wife. Let me let you know, sir, that he's the divorced husband of this lady, divorced husband because of his cruelty and adultery for eight years. Let us add that the marquis was again married fifteen months ago to a young girl of seventeen, and who is still divorced.
Please, sir, accept my apologies for the mistakes I had to make in a language I am unaccustomed to writing, and at the same time my very distinguished compliments.
Alfred Douglas.