UN APOTRE DE SOCIALISME

Les socialistes ne sont pas pressés de réclamer parmi les leurs M. Oscar Wilde, le littérateur anglais qui vient d'avoir des malheurs. Cependant, il leur appartient ; c'est un de leurs apôtres ; dans le Fortnightly Review de février 1891, il publia un article intitulé : l'Ame de l'Homme dans le socialisme. Il y disait :

Les socialistes ne sont pas pressés de réclamer parmi les leurs M. Oscar Wilde, le littérateur anglais qui vient d’avoir des malheurs. Cependant il leur appartient ; c’est un de leurs apôtres ; dans le « Fortnightly Review » de février 1891, il publia un article intitulé : l'Ame de l'homme dans le Socialisme. Il y disait :

Les socialistes ne sont pas pressés de réclamer parmi les leurs M. Oscar Wilde, le littérateur anglais qui vient d'avoir des malheurs. Cependant, il leur appartient; c'est un de leurs apôtres dans le Fortnightly Review de février 1891, il publia un article intitulé: l'Ame de l'Homme dans le socialisme. Il y disait:

« Le socialisme, le communisme, qu'on l'appelle comme on voudra, en transformant la propriété privée en fortune publique et en substituant la coopération à la concurrence, restaurera la société à sa condition naturelle d'un organisme sain et assurera le bien-être matériel de chaque membre de la communauté. En fait, il donnera la vie à sa propre base et à son propre milieu. »

« Le socialisme, le communisme, qu’on l’appelle comme on voudra, en transformant la propriété privée en fortune publique et en substituant la coopération à la concurrence, restaurera la société à sa condition naturelle d’un organisme sain et assurera le bien-être matériel de chaque membre de la communauté. En fait, il donnera la vie à sa propre base et à son propre milieu. »

« Le socialisme, le communisme, qu'on l'appelle comme on voudra, en transformant la propriété privée en fortune publique et en substituant la coopération à la concurrence restaurera la société à sa condition naturelle d'un organisme sain et assurera le bien-étre matériel de chaque membre de la communauté. En fait, il donnera la vie à sa propre base et à son propre milieu ».

« Le socialisme, le communisme, qu’on l’appelle comme on voudra, en transformant la propriété privée en fortrne publique et en substituant la coopération à la concurrence, restaurera la société à sa condition naturelle d’un organisme sain et assurera le bien-être matériel de chaque membre de la communauté. En fait, il donnera la vie à sa propre base et à son propre milieu. »

« Le socialisme, le communisme, qu’on l’appelle comme on voudra, en transformant la propriété privée en fortune publique et en substituant la coopération à la concurrence restaurera la société à la condition naturelle d’un organisme sain et assurera le bien-être matériel de chaque membre de la communauté. En fait il donnera la vie à sa propre base et à son propre milieu. »

« Le socialisme, le communisme--qu'on l'appelle comme on voudra--en transformant la propriété privée en fortune publique et en substituant la coopération à la concurrence, restaurera la société à sa condition naturelle d'un organisme sain et assurera le bien-être matériel de chaque membre de la communauté. En fait, il donnera la vie à sa propre base et à son propre milieu. »

« Le socialisme, le communisme, qu'on l'appelle comme on voudra, en transformant la propriété privée en fortune publique et en substituant la coopération à la concurrence, restaurera la société il a sa condition naturelle d'un organisme sain et assurera le bien-être matériel de chaque membre de la communauté. En fait, il donnera la vie à sa propre base et à son propre milieu. »

Avec des yeux prophétiques, Oscar Wilde voyait le millénium socialiste : « Il n'y aura plus de gens vivant dans des taudis fétides et en haillons, élevant des enfants malsains, affamés, dans des conditions repoussantes. La sécurité de la société ne dépendra pas comme maintenant de l'état du temps. Si une gelée survient, nous n'aurons pas 100,000 hommes privés de travail, errant dans la rue dans un état de misère dégoûtante, demandant l'aumône à leurs voisins ou se pressant aux portes d'odieux refuges pour essayer d'obtenir un morceau de pain et le logement malpropre d'une nuit. Chaque membre de la société aura sa part dans la prospérité générale et dans le bonheur de la société, et, en cas de gelée, personne, pratiquement, ne sera plus mal. »

Avec des yeux prophétiques, Oscar Wilde voyait le millénium socialiste : Il n'y aura plus de gens vivant dans des taudis fétides et en haillons, élevant des enfants malsains, affamés, dans des conditions repoussantes. La sécurité de la société ne dépendra pas, comme maintenant, de l'état du temps. Si une gelée survient, nous n'aurons pas cent mille hommes privés de travail, errant dans la rue dans un état de misère dégoûtante, demandant l'aumône à leurs voisins ou se pressant aux portes d'odieux refuges pour essayer d'obtenir un morceau de pain et le logement malpropre d'une nuit.

Avec une logique étonnante, Oscar Wilde a ajouté « que le socialisme nous délivrerait de la sordide nécessité de vivre pour les autres ». Il ajoutait que sous le socialisme, l'âme serait libre. « Après tout, disait-il, même en prison, un homme peut être complètement libre. La parsonnalité peut n'être pas troublée. Il peut être en paix. » M. Oscar Wilde peut en ce moment s'assurer expérimentalement si son âme est complètement libre.

AN APOSTLE OF SOCIALISM

The Socialists are in no hurry to claim among their own Mr. Oscar Wilde, the English writer who has just had misfortunes. However, it belongs to them; he is one of their apostles; in the Fortnightly Review of February 1891 he published an article entitled: The Soul of Man in Socialism. He said there:

“Socialism, communism, whatever you call it, by transforming private property into public wealth and by substituting cooperation for competition, will restore society to its natural condition of a healthy organism and ensure the good -being material of each member of the community. In fact, it will give life to its own base and its own environment. »

With prophetic eyes, Oscar Wilde saw the socialist millennium: “There will be no more people living in fetid hovels and in rags, raising unhealthy, starving children in filthy conditions. The security of society will not depend as now on the state of the weather. If a frost comes, we won't have 100,000 men out of work, wandering the streets in a state of filthy misery, begging their neighbors for alms, or crowding at the gates of odious hideouts trying to get a piece of of bread and one night's messy accommodation. Every member of society will have his share in the general prosperity and happiness of society, and in case of frost practically no one will be worse off. »

With astonishing logic, Oscar Wilde added “that socialism would deliver us from the sordid necessity of living for others”. He added that under socialism the soul would be free. "After all," he said, "even in prison a man can be completely free." Parsonality may not be disturbed. He can be at peace. Mr. Oscar Wilde can at this moment ascertain experimentally whether his soul is completely free.