Autour de l'affaire Wilde

M. Jules Huret, un publiciste très apprécié en France avait, dans le Figaro, indiqué ce qu'il y avait de compremettant dans les relations de M. Catulle Mendès, le chroniqueur parisien, avec M. Oscar Wilde, l'écrivain londonien qui vient d'acquérir celebrité d'un aussi triste aloi.

M. Catulle Mendès a sommé M. Jules Huret de lui fournir des explications; ce dernier adresse au Figaro la lettre significative que voici:

Monsieur,
J'arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche. Dans ma Petite Chronique des lettres de samedi je n'avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu'il vous plaît de les interpréter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit.
JULES HURET.

Monsieur, J'arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche. Dans ma Petite Chronique des lettres de samedi je n'avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous. Puisqu'il vous plaît de les interpréter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit. JULES HURET.

Monsieur, J'arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche. Dans ma Petite Chronique des lettres de samedi je n'avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous. Puisqu'il vous plaît de les interpréter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit. JULES HURET.

Monsieur, J’arrive à l’instant de la campagne, et je trouve votre dépêche. Dans ma Petite chronique des lettres de samedi, je n’avais cru parler que des rapports littéraires ù établir entre M. Oscar Wilde et vous. Puisqu’il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d’esprit. JULES HURET.

« Monsieur, » J’arrive à l’instant de la campagne, et je trouve votre dépêche. » Dans ma Petite Chronique des lettres de samedi, je n’avais cru parler que des rapports littéraires à établir entre M. Oscar Wilde et vous. » Puisqu’il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d’esprit. » JULES HURET. »

Monsieur, J’arrive à l’instant de la campagne, et je trouve votre dépêche. Dans ma Petite chronique des lettres de samedi, je n’avais cru parler que des rapports littéraires à établir entre M. Oscar Wilde et vous. Puisqu’il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d’esprit. JULES HURET.

Monsieur,J’arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.Dans ma Petite Chronique des lettres de samedi, je n'avais cru parler que des rapports littéraires a établir entre M. Oscar Wilde et vous.Puisqu'il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d’esprit.Jules Huret.

Monsieur, J’arrive à l’instant de la campagne, et je trouve votre dépêche. Dans ma Petite chronique des lettres de samedi, je n’avais cru parler que des rapports littéraires à établir entre M. Oscar Wilde et vous. Puisqu’il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d’esprit. JULES HURET.

Monsieur,J’arrive à l’instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.Dans ma Petite chronique des lettres de samedi, je n’avais cru parler que des rapports littéraires à établir entre M. Oscar Wilde et vous.Puisqu’il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d’esprit.JULES HURET.

Monsieur, J arriva à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépeche. Dans ma Petite chronique des lettres de samedi, je n'avais cru parler que des rapports littéraires à établir entre M. Oscar Wilde et vous. Puisqu'il voue plait de les interpréter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit. JULES HURET.

Lundi, 5 heures. Monsieur, >J'arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche. Dans ma « Petite Chronique des lettres » de samedi, je n'avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous. Puisqu'il vous plaît de les interpréter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit. >Jules HURET.

Lundi, 5 heures. Monsieur, J’arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche. Dans ma Petite Chronique des lettres de samedi je n’avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous. Puisqu’il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement ; vous êtes un homme d’esprit. JULES HURET.

Lundi, 5 heures. Monsieur, J'arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche. Dans ma Petite Chronique des lettres de samedi je n'avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous. Puisqu'il vous plaît de les interpréter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit. JULES HURET.

Lundi. 5 heures. Monsieur, J’arrive à l’instant de la campagne, et je trouve votre dépêche. Dans ma « Petite Chronique des lettres » de samedi, je n’avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous. Puisqu’il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d’esprit. Jules HURET

Lundi, 5 heures. Monsieur, J'arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche. Dans ma Petite Chronique des lettres de samedi, je n'avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous. Puisqu'il vous plaît de les interpréter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit. JULES HURET.

Lundi, 3 heures. Monsieur, J'arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche. Dans ma « Petite Chronique des Lettres » de samedi, je n'avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous. Puisqu'il vous plaît de les interpréter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit. JULES HURET.

Lundi, 5 heures. Monsieur, J’arrive à l’instant de la campagne, et je trouve votre dépêche. Dans ma « Petite Chronique des lettres » de samedi, je n'avais cru parler que des rapporte littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous. Puisqu'il vous plaît de les interpréter d'une façon plue large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d'esprit. JULES HURET.

Lundi, 5 heures. Monsieur, J’arrive à l’instant de la campagne, et je trouve votre dépêche. Dans ma petite Petite Chronique des lettres de samedi, je n’avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous. Puisqu’il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d’esprit. Jules Huret.

Lundi, 5 heures. Monsieur, J'arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche. Dans ma petite Petite Chronique des lettres de samedi, je n'avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous. Puisqu'il vous plaît de les interprêter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit. JULES HURET.

Lundi, 5 heures. Monsieur, J'arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche. Dans ma petite Petite Chronique des lettres de samedi, je n'avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous. Puisqu'il vous plaît de les interprêter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit. JULES HURET.

J'arrive à l'instant de la campagne et je trouve votre dépêche. Dans ma Petite Chronique des lettres de samedi, je n’avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous. Puisqu’il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d’esprit.

« Monsieur, « Dans ma Chronique des Lettres, insérée au « Figaro » je n’avais entendu parler que de rapports littéraires entre M. Oscar Wilde et vous ; mais, puisqu’il vous plait d’interpréter mes paroles d'une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion, dont vous connaissez mieux que moi le fondement en homme d’esprit que vous êtes. «Signé : J. HURET. »

C'est écrit de bonne encre.

La lettre de M. Huret peut être interprétée dans un sens très singulier.

On est peut-être à la vielle de nouvelles révélations.

Ces scandales qui se succèdent prouvent que notre mauvaise organisation sociale qui tend à pousser toutes les activités vers la recherche du luxe et des sensations morbides, peut produire une obliteration mentale chez ceux qui devraient consacrer leur talent et leurs connaisssance au développement de l'espèce humaine.

About the Wilde affair

Mr. Jules Huret, a publicist much appreciated in France, had, in Le Figaro, indicated what was compromising in the relations of Mr. Catulle Mendès, the Parisian columnist, with Mr. Oscar Wilde, the London writer who has just acquired fame of such a sad quality.

Mr. Catulle Mendès summoned Mr. Jules Huret to provide him with explanations; the latter addresses to Le Figaro the following significant letter:

Sir,
I have just arrived from the country, and I find your despatch. In my Little Chronicle of Saturday Letters, I thought I was speaking only of the literary relations established between M. Oscar Wilde and you.
Since you please interpret them in a broader way, I cannot oppose an opinion the basis of which you know better than I do: you are a man of intelligence.
JULES HURET.

It's written in good ink.

Mr. Huret's letter can be interpreted in a very singular sense.

We may be on the cusp of new revelations.

These successive scandals prove that our bad social organization which tends to push all activities towards the search for luxury and morbid sensations, can produce a mental obliteration in those who should devote their talent and their knowledge to the development of the human species. .

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