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L’incident Mendès-Huret :

Nous avons reproduit une lettre de M. Catulle Mendès, à M. J. Huret, publiée par l’Echo de Paris.

Nous avons reproduit avant-hier, une lettre de M. Catulle Mendès à M. J. Huret, publiée par l'Echo de Paris.

Voici la réponse de M. Jules Huret publiée par le Figaro de ce matin :

Voici la réponse de M. Jules Huret publiée par le Figaro de ce matin:

Monsieur,
J’arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.
Dans ma Petite Chronique des lettres de samedi, je n'avais cru parler que des rapports littéraires a établir entre M. Oscar Wilde et vous.
Puisqu'il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d’esprit.
Jules Huret.

« Monsieur, » J’arrive à l’instant de la campagne, et je trouve votre dépêche. » Dans ma Petite Chronique des lettres de samedi, je n’avais cru parler que des rapports littéraires à établir entre M. Oscar Wilde et vous. » Puisqu’il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d’esprit. » JULES HURET. »

Monsieur, J’arrive à l’instant de la campagne, et je trouve votre dépêche. Dans ma Petite chronique des lettres de samedi, je n’avais cru parler que des rapports littéraires à établir entre M. Oscar Wilde et vous. Puisqu’il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d’esprit. JULES HURET.

Monsieur, J’arrive à l’instant de la campagne, et je trouve votre dépêche. Dans ma Petite chronique des lettres de samedi, je n’avais cru parler que des rapports littéraires à établir entre M. Oscar Wilde et vous. Puisqu’il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d’esprit. JULES HURET.

Monsieur,J’arrive à l’instant de la campagne, et je trouve votre dépêche.Dans ma Petite chronique des lettres de samedi, je n’avais cru parler que des rapports littéraires à établir entre M. Oscar Wilde et vous.Puisqu’il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d’esprit.JULES HURET.

Monsieur, J’arrive à l’instant de la campagne, et je trouve votre dépêche. Dans ma Petite chronique des lettres de samedi, je n’avais cru parler que des rapports littéraires ù établir entre M. Oscar Wilde et vous. Puisqu’il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d’esprit. JULES HURET.

Monsieur, J arriva à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépeche. Dans ma Petite chronique des lettres de samedi, je n'avais cru parler que des rapports littéraires à établir entre M. Oscar Wilde et vous. Puisqu'il voue plait de les interpréter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit. JULES HURET.

Monsieur, J'arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche. Dans ma Petite Chronique des lettres de samedi je n'avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous. Puisqu'il vous plaît de les interpréter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit. JULES HURET.

Monsieur, J'arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche. Dans ma Petite Chronique des lettres de samedi je n'avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous. Puisqu'il vous plaît de les interpréter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit. JULES HURET.

Monsieur, J'arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche. Dans ma Petite Chronique des lettres de samedi je n'avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous. Puisqu'il vous plaît de les interpréter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit. JULES HURET.

Lundi, 5 heures. Monsieur, >J'arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche. Dans ma « Petite Chronique des lettres » de samedi, je n'avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous. Puisqu'il vous plaît de les interpréter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit. >Jules HURET.

Lundi, 5 heures. Monsieur, J’arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche. Dans ma Petite Chronique des lettres de samedi je n’avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous. Puisqu’il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement ; vous êtes un homme d’esprit. JULES HURET.

Lundi, 5 heures. Monsieur, J'arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche. Dans ma Petite Chronique des lettres de samedi je n'avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous. Puisqu'il vous plaît de les interpréter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit. JULES HURET.

Lundi. 5 heures. Monsieur, J’arrive à l’instant de la campagne, et je trouve votre dépêche. Dans ma « Petite Chronique des lettres » de samedi, je n’avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous. Puisqu’il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d’esprit. Jules HURET

Lundi, 5 heures. Monsieur, J'arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche. Dans ma Petite Chronique des lettres de samedi, je n'avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous. Puisqu'il vous plaît de les interpréter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit. JULES HURET.

Lundi, 3 heures. Monsieur, J'arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche. Dans ma « Petite Chronique des Lettres » de samedi, je n'avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous. Puisqu'il vous plaît de les interpréter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit. JULES HURET.

Lundi, 5 heures. Monsieur, J’arrive à l’instant de la campagne, et je trouve votre dépêche. Dans ma « Petite Chronique des lettres » de samedi, je n'avais cru parler que des rapporte littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous. Puisqu'il vous plaît de les interpréter d'une façon plue large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d'esprit. JULES HURET.

Lundi, 5 heures. Monsieur, J’arrive à l’instant de la campagne, et je trouve votre dépêche. Dans ma petite Petite Chronique des lettres de samedi, je n’avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous. Puisqu’il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d’esprit. Jules Huret.

Lundi, 5 heures. Monsieur, J'arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche. Dans ma petite Petite Chronique des lettres de samedi, je n'avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous. Puisqu'il vous plaît de les interprêter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit. JULES HURET.

Lundi, 5 heures. Monsieur, J'arrive à l'instant de la campagne, et je trouve votre dépêche. Dans ma petite Petite Chronique des lettres de samedi, je n'avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous. Puisqu'il vous plaît de les interprêter d'une façon plus large, je ne saurais m'élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement: vous êtes un homme d'esprit. JULES HURET.

J'arrive à l'instant de la campagne et je trouve votre dépêche. Dans ma Petite Chronique des lettres de samedi, je n’avais cru parler que des rapports littéraires établis entre M. Oscar Wilde et vous. Puisqu’il vous plaît de les interpréter d’une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion dont vous savez mieux que moi le fondement : vous êtes un homme d’esprit.

« Monsieur, « Dans ma Chronique des Lettres, insérée au « Figaro » je n’avais entendu parler que de rapports littéraires entre M. Oscar Wilde et vous ; mais, puisqu’il vous plait d’interpréter mes paroles d'une façon plus large, je ne saurais m’élever contre une opinion, dont vous connaissez mieux que moi le fondement en homme d’esprit que vous êtes. «Signé : J. HURET. »

INFORMATION

The Mendes-Huret incident:

We have reproduced a letter from M. Catulle Mendès to MJ Huret, published by the Echo de Paris.

Here is the response of Mr. Jules Huret published by Le Figaro this morning:

Sir,
I have just arrived from the country, and I find your despatch.
In my Petite Chronique des lettres on Saturday, I thought I was speaking only of the literary relations to be established between M. Oscar Wilde and you.
Since you please interpret them in a broader way, I cannot oppose an opinion whose basis you know better than I do: you are a man of intelligence.
Jules Huret.