Les scandales du high-life anglais

Le poète M. Oscar Wilde a comparu, samedi, entre deux gendarmes, devant le tribunal de police de Bow-street, pour l'instruction de l'affaire qui est à sa charge. C'est le gouvernement lui-même qui le poursuit. Il a été formellement accusé de « crimes innommables », qui le rendant passible d'une peine variant entre 20 ans de servitude pénale et les travaux forcés à perpétuité.

Le poète M. Oscar Wilde a comparu, samedi entre deux gendarmes, devant le tribunal de police de Bow-street, pour l'instruction de l'affaire qui est à sa charge. C'est le gouvernement lui-même qui le poursuit. Il a été formellement accusé de "crimes innommables," qui le rendant possible d'une peine variant entre 20 ans de servitude pénale et les travaux forcés à perpétuité.

Moeurs anglaises. - M. Oscar Wilde a comparu, samedi, entre deux gendarmes, devant le tribunal de police de Bow Street, pour l'instruction de l'affaire qui est à sa charge. C'est le gouvernement lui-même qui le poursuit. Il a été formellement accusé de « crimes innommables, » qui le rendant possible d'une peine variant entre 20 ans de servitude pénale et les travaux forcés à perpétuité.

Les scandales de Londres.- LONDRES, 6 avril. - Le poète M. Oscar Wilde a comparu, samedi, entre deux gendarmes, devant le tribunal de police de Bow-street, pour l'instruction de l'affaire qui est à sa charge. C'est le gouvernement lui-même qui le poursuit. Il a été formellement accusé de "crimes innommables," qui le rendant passible d'une peine variant entre 20 ans de servitude pénale et les travaux forcés à perpétuité.

Après des formalités purement préliminaires, l'affaire a été renvoyée à huitaine. Le poète a été reconduit en prison.

Après des formalités purement préliminaires, l'affaire a été renvoyée à huitaine. Le poète a été reconduit en prison.

Après des formalités purement préliminaires, l'affaire a été renvoyée à huitaine. Le poète a été reconduit en prison.

Après des formalités purement préliminaires, l'affaire a été renvoyée à huitaine. Wilde a été reconduit en prison.

Au même moment, on arrêtait, à Londres, le nommé Taylor, qui a pris part à ses désordres et qui sera poursuivi pour les mêmes motifs.

Au même moment, on arrêtait, à Londres, le nommé Taylor, qui a pris part à ses désordres et qui sera poursuivi pour les mêmes motifs.

Au même moment, on arrêtait, à Londres, le nommé Taylor, qui a pris part à ses désordres et qui sera poursuivi pour les mêmes motifs.

Au même moment, on arrêtait, à Londres, le nommé Taylor, qui a pris part à ses désordres et qui sera poursuivi pour les mêmes motifs.

Lord Alfred Douglas, fils du marquis de Queensberry, et « ami intime » de M. Oscar Wilde, s'est présenté à la prison, avec une forte somme d'agent qu'il a offerte de déposer comme caution, pour la mise en liberté provisoire de M. Wilde. Mais cette offre a été sommairement repoussée.

Lord Alfred Douglas, fils du marquis de Queensberry, et « ami intime » de M. Oscar Wilde, s'est présenté à la prison, avec une forte somme d'agent qu'il a offerte de déposer comme caution, pour la mise en liberté provisoire de M. Wilde. Mais cette offre a été sommairement repoussée.

Lord Alfred Douglas, fils du marquis de Queensberry, et « ami intime » de M. Oscar Wilde, s'est présenté à la prison, avec une forte somme d'agent qu'il a offerte de déposer comme caution, pour la mise en liberté provisoire de M. Wilde. Mais cette offre a été sommairement repoussée.

Lord Alfred Douglas, fils du marquis de Queensberry et ami intime de M. Oscar Wilde, s'est présenté à la prison, avec une forte somme d'argent qu'il a offert de déposer comme caution, pour la mise en liberté provisoire de M. Wilde. Mais cette offre a été sommairement repoussée. Le nom de M. Oscar Wilde a été retiré de l'affiche et des programmes du théâtre où l'on joue sa pièce; mais on continue a représenter celle-ci.

Le nom de M. Oscar Wilde a été retiré de l'affiche et des programmes des théâtres où l'on joue ses pièces; mais on continue à représenter celles-ci.

Le nom de M. Oscar Wilde a été retiré de l'affiche et des programmes des théâtres où l'on joue ses pièces; mais on continue à représenter celles ci.

Le nom de M. Oscar Wilde a été retiré de l'affiche et des programmes des théâtres où l'on joue ses pièces; mais on continue à représenter celles ci.

(Nouveaux détails)

M. Oscar Wilde est introduit, il prend place sur l'estrade des accusés. Son attitude est la même qu'à la cour d'assises et il ne paraît pas autrement ému de l'infâmante accusation qui pèse sur lui.

Il s'appuie nonchalamment sur le rebord de l'estrade, et écoute attentivement M. Gill, qui presse l'accusé de donner les détails indispensables.

Pendant que ce dernier parle, un accusé nommé M. Taylor, individu dont il a déjà été beaucoup question, a été arrêté.

Il est introduit et prend place à côté de Wilde qui en le voyant set met à sourire.

Il est entendu et donne des détails sur les rapports qu'il a eus avec Wilde.

Parmi les témoins se trouve un nommé Packer, âgé de 19 ans. Il dit avoir été présenté à Wilde par Taylor.

Parker et un frère à lui ont dîné avec Wilde en cabi- Cet partivuler et ils bu constamment du champagne. Se fut Wilde qui paya.

Packer a rendu visite à Wilde à Savoy Hôtel. Wilde le recevait dans un petit salon...

Packer soupa chaque fois avec Wilde et il recevait des amis.

Le frère de Packer, interrogé, confirme en partie le récit de son frère.

Le frère de Parker est également interrogé et confirme en partie le récit de son frère.

Le frère de Parker est également interrogé et confirme en partie le récit de son frère.

Le frère de Parker est également interrogé et confirme en partie le récit de son frère.

On entend ensuite la déposition de Mme Grast qui raconte qu'elle loua une chambre à Taylor, qui recevait la visite d'un grand nombre de jeunes gens d'environ 16 ans.

Le témoin ne peut pas reconnaître Oscar Wilde, mais elle se souvient cependant que Taylor appelait un de ses visiteurs « Oscar ».

La chambre de Taylor était très bien meublée et très parfumée. Il était comme une petite maîtresse dans son déshabillé de nuit.

« Les chambres de Taylor, dit le témoin, étaient très bien meublées et très parfumées. Taylor était comme une petite maîtresse dans son déshabillé de nuit.» N'insistons pas.

« Les chambres de Taylor, dit le témoin, étaient très bien meublées et très parfumées. Taylor était comme une petite maîtresse dans son déshabillé de nuit. » N’insistons pas.

« Les chambres de Taylor, dit le témoin, étaient très bien meublées et très parfumées. Taylor était comme une petite maîtresse dans son déshabillé de nuit. » N'insistons pas.

Des garçons ont passé la nuit avec lui. La police a visité un jour cette maison.

Le témoin suivant est un nommé Alfred Woods. Il a été présenté à Wilde en 1893.

Il raconte que Wilde lui a donné de l'argent et une chaîne de montre.

Le témoin dit qu'il cessa bientôt de voir Wilde.

The scandals of English high-life

The poet Mr. Oscar Wilde appeared, Saturday, between two gendarmes, before the police court of Bow-street, for the instruction of the affair which is in his charge. The government itself is pursuing him. He was formally charged with "unspeakable crimes", which made him liable to a sentence varying between 20 years of penal servitude and hard labor for life.

After purely preliminary formalities, the case was adjourned for eight days. The poet was returned to prison.

At the same time, a certain Taylor was arrested in London, who took part in his disorders and who will be prosecuted for the same reasons.

Lord Alfred Douglas, son of the Marquess of Queensberry, and "intimate friend" of Mr. Oscar Wilde, presented himself at the prison, with a large sum of constable, which he offered to deposit as surety, for the setting in provisional release of Mr. Wilde. But this offer was summarily rejected.

Mr. Oscar Wilde's name has been removed from the posters and programs of the theaters where his plays are performed; but we continue to represent these.

(New details)

Mr. Oscar Wilde is introduced, he takes his place on the dais for the accused. His attitude is the same as in the court of assizes and he does not seem to be much moved by the infamous accusation which weighs on him.

He leans nonchalantly on the edge of the dais, and listens attentively to Mr. Gill, who urges the accused to give the essential details.

While the latter speaks, an accused named Mr. Taylor, an individual of whom much has already been said, has been arrested.

He is introduced and takes his place next to Wilde who, seeing him set, smiles.

He is heard and gives details of the relationship he had with Wilde.

Among the witnesses is a 19-year-old named Packer. He says he was introduced to Wilde by Taylor.

Parker and a brother of his dined with Wilde in a cabin and they drank champagne constantly. It was Wilde who paid.

Packer visited Wilde at the Savoy Hotel. Wilde received him in a small salon...

Packer always supped with Wilde and entertained friends.

Packer's brother, when questioned, partly confirms his brother's account.

We then hear the testimony of Mrs. Grast who says that she rented a room to Taylor, who received the visit of a large number of young people of about 16 years old.

The witness cannot recognize Oscar Wilde, but she does remember Taylor calling one of her visitors "Oscar."

Taylor's room was very well furnished and very fragrant. He was like a little mistress in his nightgown.

Boys spent the night with him. The police once visited this house.

The next witness is a man named Alfred Woods. It was presented to Wilde in 1893.

He says Wilde gave him money and a watch chain.

The witness says he soon stopped seeing Wilde.

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