BULLETIN

L’Angleterre, comme l'Allemagne, est le pays des bonnes mœurs. Chacun sait ça.

L'Angleterre, comme l’Allemagne, est le pays des bonnes mœurs. Chacun sait ça.

L’Angleterre, comme l’Allemagne, est le pays des bonnes mœurs. Chacun sait ça.

Aussi, fût-ce avec une véritable stupéfaction que l'Univers apprit les mirifiques exploits du littérateur Oscar Wilde et de ses bons amis Alfred Douglas, Taylor, Parker, and C.

Aussi, fût-ce avec une véritable stupéfaction que l’Univers apprit les mirifiques exploits du littérateur Oscar Wilde et de ses bons amis Alfred Douglas, Taylor, Parker, and C.

Aussi, fût-ce avec une véritable stupéfaction que l’Univers apprit les mirifiques exploits du littérateur Oscar Wilde et de ses bons amis Alfred Douglas, Taylor, Parker, and Co.

Quant à la Grande-Bretagne elle-même, inutile de dire, n'est-ce pas ? quelle n’est pas encore parvenue à comprendre comment un tel scandale a pu se produire chez elle.

Quant à la Grande-Bretagne elle-même, inutile de dire, n’est-ce pas ? quelle n’est pas encore parvenue à comprendre comment un tel scandale a pu se produire chez elle.

Quant à la Grande-Bretagne elle même, inutile de dire, n’est-ce pas ? quelle n’est pas encore parvenue à comprendre comment un tel scandale a pu se produire chez elle.

L’ahurissement de notre excellente voisine d’outre-Manche est d'ailleurs facile à concevoir.

L’ahurissement de notre excellente voisine d’outre-Manche est d’ailleurs facile à concevoir.

L’ahurissement de notre excellente voisine d’outre-Manche est d’ailleurs facile à concevoir.

Jamais, en effet, — chacun sait ça aussi — on n’entendit parler dans le Royaume-Uni, d’aventures semblables à celle d'Oscar ; et c'est en France, en France seulement que fleurissent les Alfred Douglas et les Wilde, — les Benvenuto Bellardini et les Mas...

Jamais, en effet, — chacun sait ça aussi — on n’entendit parler dans le Royaume-Uni, d’aventures semblables à celle d’Oscar ; et c’est en France, en France seulement que fleurissent les Alfred Douglas et les Wilde, — les Benvenuto Bellardini et les Mas.

Jamais, en effet, — chacun sait ça aussi — on n’entendit parler dans le Royaume-Uni, d’aventures semblables à celle d’Oscar ; et c’est en France, en France seulement, que fleurissent les Alfred Douglas et les Wilde, — les Benvenuto Bellardini et les Mas...

* * *

Et cependant, nous en apprenons de belles, ce matin encore, sur le compte des bons insulaires britanniques.

Et cependant, nous en apprenons de belles, ce matin encore, sur le compte des bons insulaires britanniques.

Et cependant, nous en apprenons de belles, ce matin encore, sur le compte des bons insulaires britanniques.

Alas poor England

Voile de tes mains ta face blême, ô vertueuse Angleterre, pour cacher la rougeur que va mettre à tes joues la honte!... Abaisse sur tes yeux verts, ô pudique Albion, tes paupières que vont alourdir des pleurs de chagrin.

Voile de tes mains ta face blême, ô vertueuse Angleterre, pour cacher la rougeur que va mettre à tes joues la honte ! ... Abaisse sur tes yeux verts, ô pudique Albion, tes paupières que vont alourdir des pleurs de chagrin…

Voile de tes mains ta face blême, ô vertueuse Angleterre, pour cacher la rougeur que va mettre à tes joues la honte!... Abaisse sur tes yeux verts, ô pudique Albion, tes paupières que vont alourdir des pleurs de chagrin...

Voici ce quinoas lisons dans la Patrie :

Hier après midi, vers 5 h. 1/4, lord Queensberry traversait Piccadilly, allant dans la direction d’Albemarle Street, où est situé son son hôtel. Prêt à tourner le coin de cette rue, il fut accosté par son fils lord Douglas de Hawick, qui paraissait en proie à une vive surexcitation et qui, interpellant brusquement son père pour lui demander compte de lettres insuffisantes écrites par lui à lady Douglas, bouscula plutôt qu’il ne frappa le marquis.

Hier après midi, vers 5 h. 1/4, lord Queensberry traversait Piccadilly, allant dans la direction d’Albemarle street, où est situé son son hôtel. Prêt à tourner le coin de cette rue, il fut accosté par son fils lord Douglas de Hawick, qui paraissait en proie à une vive surexcitation et qui, interpellant brusquement son père pour lui demander compte de lettres insuffisantes écrites par lui à lady Douglas ; bouscula plutôt qu’il ne frappa le marquis.

Hier après midi, vers 5 h. 1/4, lord Queensberry traversait Piccadilly, allant dans la direction d’Albemarle Street, où est situé son hôtel. Prêt à tourner le coin de cette rue, il tue accosté par son fils lord Douglas de Hawick, qui paraissait en proie à une vive surexcitation et qui, interpellant brusquement son père pour lui demander compte de lettres insultantes écrites par lui a lady Douglas, bouscula plutôt qu'il ne frappa le marquis.

Hier après-midi, vers 5 h. [...], lord Queensberry traversait Piccadilly, allant dans la direction d'Albemarle Street, où est situé son hôtel. Prêt à tourner le coin de cette rue, il fut accosté par son fils lord Douglas de Hawick, qui paraissait en proie à une vive surexcitation et qui, interpellant brusquement son père pour lui demander compte de lettres insultantes écrites par lui a lady Douglas, bouscula plutôt qu'il ne frappa le marquis.

Celui-ci chancela quelque peu et son chapeau tomba, mais, recouvrant bientôt son équilibre, il fondit à poings fermés sur son assaillant.

Celui-ci chancela quelque peu et son chapeau tomba, mais, recouvrant bientôt son équilibre, il fondit à poings fermés sur son assaillant.

Celui-ci chancela quelque peu et son chapeau tomba, mais, recouvrant bientôt son équilibre, il fondit à poings fermés sur son assaillant.

Celui-ci chancela quoique peu et son chapeau tomba, mais, recouvrant bientôt son équilibre, il fondit a poings fermés sur son assaillant.

En ce moment, un policeman s'interposa qui, étendant le bras entre les deux antagonistes, les invita à s’abstenir de toute autre voie de fait.

En ce moment, un policeman s'interposa qui, étendant le bras entre les deux antagonistes, les invita à s'abstenir de toute autre voie de fait.

En ce moment, un policeman s'interposa qui, étendant le bras entre les deux antagonistes, les invita à s’abstenir de toute autre voie de fait.

En ce moment, un policeman s’interposa qui, étendant le bras entre les deux antagonistes, les invita à s’abstenir de toute autre voie de fait.

Toutefois, lord Douglas, au lieu d’obtempère qu’il me jugera de son côté avec plus de bienveillance !

On n'est pas plus accommodant, ni plus aimablement paternel.

Ces Anglais, vous le voyez, sont pétris d’atticisme et d'esprit. Et c'est, en vérité, une bien jolie famille que la famille de Queensberry...

Ces Anglais, vous le voyez, sont pétris d’atticisme et d’esprit. Et c'est, en vérité, une bien jolie famille que la famille de Queensberry...

Ces Anglais, vous le voyez, sont pétris d’atticisme et d’esprit Et c’est, on vérité, une bien jolie famille que la famille de Queensberry…

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Le jeune Alfred Douglas... Wilde tient, du reste, à ce que nul n’ignore les sentiments dont sont animés les siens et lui-même à l’égard du marquis.

Le jeune Alfred Douglas... Wilde tient, du reste, à ce que nul n’ignore les sentiments dont sont animés les siens et lui-même à l’égard du marquis.

Le jeune Alfred Douglas... Wilde tient, du reste, à ce que nul n’ignore les sentiments dont sont animés les siens et lui-même à l’égard du marquis.

Un journal ayant rapporté par erreur que c’état lui qui avait « boxé » avec le chef de sa maison, il s'est empressé d’écrire à notre confrère la charmante lettre que voici :

Un journal ayant rapporté par erreur que c’était lui qui avait « boxé » avec le chef de sa maison, il s’est empressé d’écrire à notre confrère la charmante lettre que voici :

Un journal ayant rapporté par erreur que c’était lui qui avait « boxé » avec le chef de sa maison, il s’est empressé d’écrire à notre confrère la charmante lettre que voici :

Ce n’est pas moi « malheureusement » qui s'est battu avec lord Queensberry, c’est mon frère aîné lord Douglas of Hawick. Ce n’est pas aussi, comme vous le dites, à cause du verdict contre Taylor que mon frère a fait ce qu’il a fait, puisqu’il ne connaît pas Taylor et n’a même jamais parlé avec lui.

Ce n’est pas moi « malheureusement » qui s'est battu avec lord Queensberry, c’est mon frère aîné lord Douglas of Hawick. Ce n’est pas aussi, comme vous le dites, à cause du verdict contre Taylor que mon frère a fait ce qu’il a fait, puisqu’il ne connaît pas Taylor et n’a même jamais parlé avec lui.

Ce n'est pas moi malheureusement, écrit-il, qui s'est battu avec lord Queensberry, c'est mon frère aîné lord Douglas of Hawick. Ce n'est pas aussi, comme vous le dites, à cause du verdict contre Taylor que mon frère a fait ce qu'il a fait, puisqu'il ne connaît pas Taylor et n'a même jamais parlé avec lui.

« Ce n'est pas moi malheureusement, ecrit-il, qui s'est battu avec lord Queensberry, c'est mon frère aîné lord Douglas of Hawick. Ce n'est pas aussi, comme vous le dites à cause du verdict contre Taylor que mon frère a fait ce qu'il a fait, puisqu'il ne connaît pas Taylor et n'a jamais même parlé avec lui.

Je viens de lire dans votre journal une version tout à fait inexacte de l'affaire de mon frère, le marquis de Queensberry. Ce n'est pas moi malheureusement qui s'est battu avec lord Queensberry, c'est mon frère aîné lord Douglas of Hawick. Ce n'est pas aussi, comme vous le dites à cause du verdict contre Taylor que mon frère a fait ce qu'il a fait, puisqu'il ne connaît pas Taylor et n'a jamais même parlé avec lui.

Je viens de lire dans votre journal une version tout à fait inexacte de l'affaire de mon frère, le marquis de Queensberry. Ce n'est pas mai malheureusement qui s'est battu avec lord Queensberry, c'est mon frère aîné lord Douglas of Hawick. Ce n'est pas aussi, comme vous le dites, à cause du verdict contre Taylor que mon frère a fait ce qu'il a fait, puisqu'il ne connaît pas Taylor et n'a jamais même parlé avec lui.

Je viens de lire dans votre journal une version tout à fait inexacte de l’affaire de mon frère. le marquis de Queensberry. Ce n’est pas moi malheureusement qui s’est battu avec lord Queensberry, c’est mon frère ainé lord Douglas of Hawick. Ce n’est pas aussi, comme uous le dites à cause du verdict contre Taylor que mon frire a fait ce qu’il a fait, puisqu’il ne connaît pas Taylor et n’a jamais même parlé de lui.

Ce n’est pas moi malheureusement, écrit-il, qui s'est battu avec lord Queensberry, c’est mon frère aîné lord Douglas of Hawick. Ce n’est pas aussi, comme vous le dites, à cause du verdict contre Taylor que mon frère a fait ce qu’il a fait, puisqu’il ne connaît pas Taylor et n’a même jamais parlé avec luiC’est parce que le marquis, depuis deux mois, n’a pas cessé d'écrire à la femme de mon frère des lettres d’une obscénité et d une grossièreté incroyables.

Le 22 mai. Monsieur, Je viens de lire dans votre journal une version tout à fait inexacte de l'affaire de mon frère, le marquis de Queensberry. Ce n'est pas moi, malheureusement qui s'est battu avec lord Queensberry, c'est mon frère aîné, lord Douglas of Hawick. Ce n'est pas aussi, comme vous le dites à cause du verdict contre Taylor que mon frère a fait ce qu'il a fait, puisqu'il ne connait pas Taylor et n'a jamais même parlé de lui.

Le 22 mai. Monsieur, Je viens de lire dans votre journal une version tout à fait inexacte de l'affaire de mon frère, le marquis de Queensberry. Ce n'est pas moi, malheureusement qui s'est battu avec lord Queensberry, c'est mon frère aîné, lord Douglas of Hawick. Ce n'est pas aussi, comme vous le dites à cause du verdict contre Taylor que mon frère a fait ce qu'il a fait, puisqu'il ne connait pas Taylor et n'a jamais même parlé de lui.

C’est parce que le marquis, depuis deux mois, n’a pas cessé d’écrire a la femme de mon frère des lettres d’une obscénité et d'une grossièreté incroyables.

C'est parce que le marquis, depuis deux mois, n'a pas cessé d'écrire à la femme de mon frère des lettres d'une obscénité et d'une grossiéreté incroyables.

C'est parce que le marquis, depuis deux mois, n'a pas cessé d'écrire à la femme de mon frère des lettres d'une obscénité et d'une grossièreté incroyables.

C'est parce que le marquis, depuis deux mois, n'a pas cessé d'écrire à la femme de mon frère des lettres d'une obscénité et d'une grossiéreté incroyables.

C’est parce que le marquis, depuis deux mois, n’a pas cessé d’écrire à la femme de mon frère des lettres d’une obscénité et d’une grossiéreté incroyables.

C'est parce que le marquis, depuis deux mois, n'a pas cessé d'écrire à la femme de mon frère des lettres d'une obscénité et d'une grossièreté incroyables.

« C'est parce que le marquis, depuis deux mois, n'a pas cessé d'écrire à la femme de mon frère des lettres d'une obscénité et d'une grossièreté incroyables. »

C’est parce que le marquis, depuis deux mois, n'a pas cessé d'écrire à la femme de mon frère des lettres d'une obscénité et d'une grossièreté incroyables...

C'est parce que le marquis, depuis deux mois, n'a pas cesse d'ecrire a la femme de mon lite des lettres d'une obscénité et d'une grossièreté incroyables.

... Mon père fut divorcé à cause de sa cruauté et de son adulterie depuis huit ans. J'ajouterai que le marquis de Queensberry s'est encore marié il y a quinze mois avec une jeune fille de dix sept ans et qu'il est encore divorcé.

Mon père fut divorcé à cause de sa cruauté et de son adulterie depuis huit ans. J'ajouterai que le marquis de Queensberry s'est encore marié il y a quinze mois avec une jeune fille de dix-sept ans et qu'il est encore divorcé.

... Mon père fut divorcé à cause de sa cruauté et de son adulterie depuis huit ans. J’ajouterai que le marquis de Queensberry s’est encore marié il y a quinze mois avec une jeune fille de dix-sept ans et qu’il est encore divorcé.

Mon père fut divorcé à cause de sa cruauté et de son adultére depuis huit ans. J’ajouterai que le marquis de Queensberry s’est encore marié il y a quinze mois avec une jeune fille de dix-sept ans et qu’il est encore divorcé.

Mon père fut divorcé à cause de sa cruauté et de son adulterie depuis huit ans. J'ajoute que le marquis de Queensberry s'est encore marié, il y a quinze mois, avec une jeune fille de dix-sept ans, et qu'il est encore divorcé. »

Que dites-vous, chers lecteurs, de cette petite histoire... britannique?

Que dites-vous, chers lecteurs, de cette petite histoire... britannique ?

Que dites-vous, chers lecteurs, de cette petite histoire... britannique ?

Ne vous semble-t-il pas, comme à nous, que lorsqu'on assiste, dans son propre pays — et plus souvent qu'à son tour — à des scandales de cet acabit, on devrait — au rebours de messieurs les Anglais — « poser » un peu moins pour l’inflexible vertu, et se montrer un peu plus avare d’anathèmes contre les voisins qui ne jouent pas au rigorisme?...

Ne vous semble-t-il pas, comme à nous, que lorsqu’on assiste, dans son propre pays — et plus souvent qu’à son tour — à des scandales de cet acabit, on devrait — au rebours de messieurs les Anglais — « poser » un peu moins pour l’inflexible vertu, et se montrer un peu plus avare d’anathèmes contre les voisins qui ne jouent pas au rigorisme ?...

Ne vous semble-t-il pas, comme à nous, que lorsqu’on assiste, dans son propre pays — et plus souvent qu’à son tour — à des scandales de cet acabit, on devrait — au rebours de messieurs les Anglais — « poser » un peu moins pour l’inflexible vertu, et se montrer un peu plus avare d’anathèmes contre les voisins qui ne jouent pas au rigoriste ?..

NEWSLETTER

England, like Germany, is the country of good morals. Everyone knows that.

So, was it with real amazement that the Universe learned of the marvelous exploits of the literary man Oscar Wilde and his good friends Alfred Douglas, Taylor, Parker, and C.

As for Britain itself, needless to say, right? what has not yet managed to understand how such a scandal could have occurred at home.

The bewilderment of our excellent neighbor across the Channel is easy to conceive.

Never, in fact—everyone knows this too—have we heard in the United Kingdom of adventures similar to that of Oscar; and it is in France, in France alone, that the Alfred Douglases and the Wildes flourish—the Benvenuto Bellardini and the Mas...

* * *

And yet, we learn some beautiful things, this morning again, on the account of the good British islanders.

Alas poor England

Veil with your hands your pale face, O virtuous England, to hide the redness that shame will put on your cheeks!... Lower over your green eyes, O chaste Albion, your eyelids that will weigh down tears of sorrow.

Here is what quinoas we read in La Patrie:

Yesterday afternoon, around 5 o'clock. 1/4 Lord Queensberry was crossing Piccadilly, going in the direction of Albemarle Street, where his hotel is situated. About to turn the corner of this street, he was accosted by his son Lord Douglas of Hawick, who seemed greatly excited and who, abruptly calling on his father to ask him to account for the insufficient letters written by him to Lady Douglas, jostled rather than strike the marquis.

The latter staggered a little and his hat fell, but, soon recovering his balance, he swooped down on his assailant.

At this moment, a policeman intervened who, extending his arm between the two antagonists, invited them to abstain from any further assault.

However, Lord Douglas, instead of complying that he will judge me on his side with more benevolence!

We are not more accommodating, nor more amiably paternal.

These English, you see, are steeped in Atticism and wit. And it is, indeed, a very pretty family that the family of Queensberry...

* * *

The young Alfred Douglas...Wilde insisted that no one should be unaware of the feelings with which his people and himself were animated with regard to the Marquis.

A newspaper having mistakenly reported that he was the one who had "boxed" with the head of his house, he hastened to write to our colleague the following charming letter:

It was not I "unfortunately" who fought with Lord Queensberry, it was my elder brother Lord Douglas of Hawick. It is also not, as you say, because of the verdict against Taylor that my brother did what he did, since he does not know Taylor and has never even spoken with him.

It's because the marquis, for two months, hasn't stopped writing letters of incredible obscenity and rudeness to my brother's wife.

... My father was divorced because of his cruelty and adultery for eight years. I will add that the Marquess of Queensberry was married again fifteen months ago to a young girl of seventeen and is still divorced.

What do you say, dear readers, to this little... British story?

Doesn't it seem to you, as it does to us, that when one witnesses, in one's own country — and more often than not — scandals of this ilk, one should — unlike the English gentlemen — "to pose" a little less for inflexible virtue, and to show oneself a little more stingy with anathemas against neighbors who do not play rigorous?...