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Next report La Lanterne - Sunday, April 7, 1895

LES SCANDALES DE LONDRES

Londres, 4 avril. -- Les débats de l'affaire Oscar Wilde contre le marquis de Queensbury ont continué aujourd'hui.

LONDRES, 30 avril. -- Les débats de l'affaire Oscar Wilde et Taylor ont continué aujourd'hui.

L'interrogatoire s'est poursuivi encore pendant cette audience, roulant toujours sur des sujets extrêmement scabreux.

L'interrogatoire s'est poursuivi encore pendant cette audience, roulant toujours sur des sujets extrêmement scabreux.

L'interrogatoire s'est poursuivi encore pendant cette audience, roulant toujours sur des sujets extrêmement scabreux.

L’interrogatoire s’est poursuivi encore pendant cette audience, roulant toujours sur des sujets extrêmement scabreux.

L'interrogatoire s'est poursuivi, roulant toujours sur des sujets extrêmement scabreux.

M. O. Wilde, questionné sur ses relations avec un certain nombre de jeunes gens de vingt ans environ, jeunes gens qu'il emmenait avec lui en voyage, auxquels il offrait à souper dans des cabinets particuliers, et qu'il gratifiait généralement ensuite d'un porte-cigare en argent, se contente de répondre qu il aimait leur société parce qu'ils étaient jeunes, et qu'il détestait celle des vieux; mais, ajoute-t-il, on ne peut lui reprocher aucun acte répréhensible.

M. O. Wilde, questionné sur ses relations avec un certain nombre de jeunes gens de vingt ans environ, jeunes gens qu’il emmenait avec lui en voyage, auxquels il offrait à souper dans de cabinets particuliers, et qu’il gratifiait généralement ensuite d’un porte-cigare en argent, se contente de répondre qu’il aimait leur société parce qu’ils étaient jeunes, et qu’il détestait celle des vieux : mais, ajoute-t-il, on ne peut lui reprocher aucun acte répréhensible.

M. O. Wilde, questionné sur ses relations avec un certain nombre de jeunes gens de vingt ans environ, jeunes gens qu'il emmenait avec lui en voyage, auxquels il offrait à souper dans des Cabinets particuliers, et qu'il gratifiait généralement ensuite d'un porte-cigare émargent, se contente de répondre qu'il aimait leur société parce qu'ils étaient jeunes, et qu'il détestait celle des-vieux; mais ajoute-t- il, on ne peut lui reprocher aucun acte répréhensible.

Tout à coup une stupéfaction véritable s'empare de 1'assistance quand elle entend la lecture de passages de lettres dans lesquelles le nom d'un haut personnage, membre de l'aristocratie, est prononcé.

Tout à coup une stupéfaction véritable s’empare de l’assistance quand elle entend la lecture de passages de lettres sans lesquelles le nom d’un haut personnage, membre de l’aristocratie, est prononcé.

A la dernière audience, une véritable stupéfaction s'est emparée de l'assistance quand on a donné lecture de passages de lettres dans lesquelles le nom d'un haut personnage, membre de l'aristocratie est prononcé.

Tout à coup, une stupéfaction véritable s'empare de l'auditoire lorsqu'il est donné lecture du passage d'une lettre dans laquelle le nom de Lord Rosebery est prononcé.

Le conseil du marquis de Queensbury a commencé ensuite la défense de son client et l'audience a été renvoyée à demain.

Le conseil du marquis de Queensbury a commencé ensuite la défense de son client et L'audience a été renvoyée à demain.

Le conseil du marquis de Queensberry a commencé ensuite la défense de son client et l'audience a été renvoyée à demain.

Le conseil du marquis de Queensberry a commencé ensuite la défense de son client et l'audience a été renvoyee au lendemain.

Le conseil du marquis de Queensberry a commencé ensuite La Défense de son client et […] a été renvoyée à aujourd’hui.

Le conseil du marquis de Queensberry a commencé ensuite la défense de son client, qui sera continuée demain.

Ce procès passionne l'opinon publique et les journaux, par les détails qu'ils en donnent, ne contribuent pas peu à augmenter encore l'émotion qu'il excite par lui-même.

Ce procès passionne l'opinion publique, et les journaux; par les détails qu'ils en don- nent, ne contribuent pas peu â augmenter encore l'émotion qu'il excite par lui-même.

Ce procès passionne l’opinion publique et les journaux anglais, par les détails qu’ils en donnent, ne contribuent pas peu à augmenter encore l’émotion qu’il excite par lui-même.

Londres, 4 avril. -- Le public a été fortement impressionné par la lecture d'une lettre du marquis de Queensbury au père de sa première femme. Cette lettre contenait cette phrase:

Le public a été fortement impressionné par la lecture d'une lettre du marquis de Queensberry au père de sa première femme. Cette lettre contenait cette phrase:

Londres, 5 avril. -- Au cours de l'audience de la cour d'assises, le public a été fortement impressionné par la lecture d'une lettre du marquis de Queensbury au père de sa première femme. Cette lettre contenait cette phrase:

Affaire Queensberry-Wilde. Au cours de l’audience de la cours d’assises d’aujourd’hui, le public a été fortement impressionné par la lecture d’une lettre du marquis de Queensberry au père de sa première femme. Cette lettre contenait cette phrase :

Tout à coup une stupéfaction véritable s'empare de l'assistance: on lit une lettré du marquis de Queensbery au père de sa première femme. Cette lettre contenait cette phrase:

« Il (Oscar Wilde) a montré qu'il était un làche et le dernier de ces misérables du type de lord Rosebery. »

« Il (Oscar Wilde) a montré qu'il était un lâche et le dernier dé ces misérables du type de lord Rosebery. »

« Il (Oscar Wilde) a montré qu'il était un lâche et le dernier de ces misérables du type de lord Rosebery. »

« Il (Oscar Wilde) a montré qu’il était un lâche et le dernier de ces miserables du type de Lord Rosebery.

« Il (Oscar Wilde) a montré qu’il était un lâche et le dernier de ces misérables du type de lord Rosebery. »

« Il (Oscar Wilde) a montré qu'il était un làcne et le dernier de ces misérables du type de lord Rosebery.

« Il (Oscar Wilde) a montré qu'il était un lâche et le dernier de ces misérable du type de lord Rosebery.

« Oscar Wilde a montré qu’il était un lâche et le dernier de ces misérables du type de lord Rosebery. »

« Oscar Wilde a montré qu'il était un lâche et le dernier de ces misérables du type de lord Rosebery. »

« Oscar Wilde a montré qu’il était un lâche et le dernier de ces misérables du type de lord Rosebery. »

« Oscar Wilde a montré qu'il était un lâche et le dernier de ces misérables du type de lord Rosebery ».

« Oscar Wilde a montré qu'il était un lâche et le dernier de ces misérables du type de lord Rosebery. »

« Oscar Wilde a montré qu'il était un lâche et le dernier de ces misérables du type de lord Rosebery. »

« Oscar Wilde a montré qu'il était un lâche et le dernier de ces misérables du type de lord Rosebery. »

« Oscar Wilde a montré qu'il était un lâche et le dernier de ces misérables du type de lord Rosebery. »

« Oscar Wilde a montré qu’il était un lâche et le dernier de ces misérables du type de lord Rosebery. »

« Oscar Wilde a montré qu’il était un lâche et le dernier de ces misérables du type de lord Rosebery.»

« Oscar Wilde a montré qu’il était un lâche et le dernier de ces miserables du type de lord Rosebery. »

« Oscar Wilde a montré qu’il était un lâche et le dernier de ces misérables du type de lord Rosebery. »

« Oscar Wilde a montré qu'il était un lâche et le dernier de ces misérables du type de lord Rosbery. »

» Oscar Wilde a montré qu'il était un lâche et le dernier des misérables du type de lord Rosebcry »

Or, dans cette lettre se trouvait le passage suivant: Oscar Wilde a montré qu'il était un lâche et le dernier de ces misérables du type de lord Rosebery.

La lecture d'une autre lettre du marquis mentionnait également le nom du premier ministre.

La lecture d’une autre lettre du marquis mentionnait également le nom du premier ministre.

La lecture d'une autre lettre du marquis mentionnait également le nom du premier ministre.

La lecture d'une autre lettre du marquis mentionnait également le nom du premier ministre.

Une autre lettre du marquis mentionnait également le nom du premier ministre.

Une autre lettre du marquis mentionnait également le nom du premier ministre.

Ces deux citations donnent lieu à toute sorte de commentaires.

THE LONDON SCANDALS

London, April 4. -- The proceedings in the Oscar Wilde v. Marquess of Queensbury case continued today.

The interrogation continued during this hearing, always rolling on extremely scabrous subjects.

MO Wilde, questioned about his relations with a certain number of young people of about twenty years of age, young people whom he took with him on trips, to whom he offered supper in private cabinets, and whom he generally afterwards gratified with a silver cigar case, is content to reply that he liked their society because they were young, and that he hated that of the old; but, he adds, he cannot be blamed for any wrongdoing.

Suddenly a real stupefaction takes hold of the audience when they hear the reading of passages from letters in which the name of a high personage, member of the aristocracy, is pronounced.

Counsel for the Marquess of Queensbury then proceeded to defend their client and the hearing was adjourned until tomorrow.

This trial excites public opinion and the newspapers, by the details they give of it, contribute not a little to further increase the emotion which it excites by itself.

London, April 4. -- The audience was greatly impressed by reading a letter from the Marquess of Queensbury to the father of his first wife. This letter contained this sentence:

“He (Oscar Wilde) has shown himself to be a coward and the last of those wretches of the type of Lord Rosebery. »

The reading of another letter from the marquis also mentioned the name of the prime minister.

These two quotes give rise to all sorts of comments.